.......................................Règlements...........

La porte était fermée. Dans le couloir, plusieurs élèves occupaientdes sièges en bois alignés contre les murs. Quand j'arrivais, ils me dévsagèrent perplexes avant de se blottir de nouveau dans leurs manteaux. J'étais en débardeur. A les voir, on se serait crus au pôle Nord, et je savais qu'il faisait très froid. Seulement, je ne le sentais absolument pas. La chaleur autour, celle de lampes et de tous ceux qui bougeaient autour de moi suffisait à garder mon corps à une température d'environ 47 degrés. Je choisissais un siège près de la fenêtre, là où l'air me rafraîchissait un peu et attendit. La fille et le garçon qui m'avait suivie dans le couloir n'étaient plus là. Mon portable indiquait 17h 50, la réunion commençait dans dix minutes, et les élèves affluaient maintenant, certains essoufflés d'avoir couru, d'autres simplement soulagés de trouver la salle. Je remarquais certains élèves que j'avais vu dans le hall, la fille toute en noire à la démarche féline, un autre qui la suivait, avec des cheveux et des yeux couleur acier, et le groupe de glousseuses "les miss poneys" comme je les appelais dans ma tête (à cause des rires et du bruit de sabots que faisaient leurs talons aiguilles). Là, elles gloussaient encore, leur main manucurée devant des lèvres enduites d'une triple couche de gloss "couleur cerise acerola " en regardant le garçon et la fille qui venaient d'arriver. Stupide, idiot, tous les adjectifs et les insultes du monde ne pourraient exprimer la pitié et le mépris que j'éprouvais à leur égard. En plus, elles dégageaient plus de chaleur en riant, et je grimaçais en essayant de la canaliser. La fille en noir était d'une grâce incroyable, on aurait véritablement dit un chat dans un corps humain. L'air calme et posé, elle discutait tranquillement avec le garçon à côté d'elle. costume de marque, détaillais-je comme à mon habitude. Un visage racé, des traits nobles, l'allure soignée et une démarche élégante, cependant soucieux. Un peu lamême expression d'ailleurs que j'avais retrouvé toutà l'heure sur le visage du garçon blond dans le couloir, et mon expression habituelle. Enfin, la salle s'ouvrit et on nous demanda de rentrer.

Après avoir vagabonder quelques temps encore dans les couloirs, un surveillant finit par le croiser. Tekzes se présenta comme perdu et le surveillant grommela avant de le prendre par l'épaule et de le traîner jusqu'à l'auditorium. Tekzes protestait, mais ne pouvait malheureusement pas se débattre, au risque de lâcher sa valise et son sac. Ceux-ci le gênaient affreusement, et il ne pouvait absolument rien faire contre ces poids qui se balançaient, empêchant tout mouvement sportif dont il était habitué à faire, il y a encore un an.

Finallement, il fut largué devant l'auditorium, et aperçut une foule d'élève. Tekzes passa plusieurs fois sa main autour de sa bouche, afin d'être sûr d'être lavé du sang. Puis, comme à son nouvel habitude, il s'isola contre le mur. Il tenait fermement ses bagages, histoire de sentir ses mains s'endolorir en poignant violemment sa valise. Il regardait au sol, et de temps à autre, il levait les yeux pour regarder la grande porte. Celle-ci s'ouvrit finalement.

Les élèves traînaient pour y entrer. Alors que Tekzes souhaitait attendre la fin des bousculades pour finalement pénétrer dans la grande salle, le même surveillant que précédemment l'aperçut, lui qui était à 3 mètres derrière la foule. Le surveillant accostant l'encadrement des grandes portes s'approcha de Tekzes et le tira vers la foule. Tekzes n'avait pas pu réagir assez vite, et abandonnait déjà ses affaires derrière lui. Dans cette foule serrée, il fut soudainement poussé vers une fille aux cheveux noirs. Il l'observa quelques instants, et était certains de voir des yeux étranges, comme ceux d'un chat. Puis, un soudain froid se fit ressentir lorsqu'un garçon aux cheveux blancs apparut juste derrière cette fille. Tekzes détourna hâtivement ses yeux et regarda devant lui. Il détestait depuis peu de regarder les autres. Depuis cette conspiration qui lui avait coûté ses relations avec ses amis, il préférait ne plus s'approcher des autres.

Après ce "couple", eut compris Tekzes suite au regard noir du garçon aux cheveux blancs, qui devait certainement accompagner la jeune fille aux yeux de chats, Tekzes bouscula une autre personne qu'il n'eut pas reconnu dans un premier temps, mais constata que c'était la fille qui arrivait après la scène de la flamme soudaine. Il détourna hâtivement les yeux et se fraya un chemin parmi les élèves pour arriver à côté du garçon qui se trouvait également dans ce couloir. Tekzes tourna ses yeux une nouvelle fois, espérant qu'il ne le reconnût pas non plus. Tekzes entendait des personnes râler derrière lui après ses passages en force. Puis, il ressentit une soudaine chaleur sur son bras gauche. Il tourna son regard et croisa celui de la jeune fille du feu. Tekzes n'eut regardé qu'une seule seconde, mais c'était suffisant pour l'avoir reconnue et s'enfuir à travers la foule une nouvelle fois. Finalement, il resta debout près d'un banc, en guettant ceux qu'il avait rencontrés quelques instants auparavant. Il espérait que ces personnes ne s'approchent de lui (pas sûr pour le temps du verbe =S).

Puis, quelque chose dans l'air chatouilla soudainement le nez de Tekzes, qui sans même s'en apercevoir éternua. Il mit instinctivement sa main devant sa bouche pour contenir son éternuement. Cependant, il y eut un second effet à cela : les lampes au plafond explosèrent. Une faible lumière jaillissait encore des néons détruits, mais Tekzes aperçut les morceaux de verre chutant vers les élèves.

*Non ! Pas encore !*

Il usa instinctivement de son pouvoir afin d'attirer vers lui les morceaux encore faiblement chargés en électricité. C'est alors qu'il sursauta avant de s'agenouiller au sol en protégeant sa tête...

Les bouts de verres se plantèrent mortellement contre le mur derrière lui. Tekzes savait que le danger était écarté, mais il préférait rester ainsi. Dans cette soudaine obscurité, les élèves avaient hurlé de terreur. Tekzes hurlait en lui-même. La dernière fois où il avait attiré instinctivement des choses vers lui, il avait failli mourir. Cette fois encore, il avait frôlé la mort...

Puis, il se releva lentement, et observa la foule sortant en hâte...

[pour ceux qui suivent, racontez que vous êtes entrés tranquillement et que vous avez par la suite étés surpris par cela, et vous décrivez vos réactions ne faites pas la suite de MON post !]

17h40, il serait p-e temps de rejoindre l'auditorium pr la réunion. J'avais passé la matinée ds le lit de mond dortoir rêvassant et pensant svt à un visage en particulier. Voilà qui ne me ressemblait pas du tout., et après le déjeuner ds le réfectoire, je partis de nouveau m'enfermer ds le second dortoir des garçons, sortant mon ordinateur portable. Je me mis aussitôt à chercher les dernières nouvelles, et des informations plus précises sur l'île. Bien entendu, je m'étais renseigné avant de prendre l'avion, mais je voulais approfondir mes connaissances sur ce sujet. J'envoyai aussi, plusieurs commandes à mes couturiers et tailleurs attitrés, ds le but de renouveler ma garde-robe, et un mail à ma mère. Soudain, je scrutai l'écran de mon tout nouveau portable et vis affiché 17H40. Je m'habillai donc convenablement, chemise blanche avec col remonté, veste noire et pantalon aussi, mocassins argentés, tout comme la montre que je changeai. Du gel rapidement passé sur mes cheveux, je m'apprêtais à sortir ds le brouhaha des autres autres garçons, lorsue je m'arrêtai, soupirai et dit ss tourner la tête:
"- Lâche ca, mon petit bonhomme, c'est lamentable, ton truc."
Un jeune ado, l'air assez idiot et indolent, retira précipitamment la main de la pochette de mon ordi portable, qui veait de m'indiquer par laser sur mon portable une intrusion ss code digital sur la fermeture éclair. Ac un ricanement glacial, (étrangement, ds le sens propre du terme également), je m'éloignai.
Arrivé devant l'auditorium, je baillâi et fermai les yeux, m'appuyant contre le mur. Soudain, je sentis une présence auprès de moi. J'ouvris les yeux, prêt à répliquer d'une manière cinglante lorsque je faillis m'étrangler. Mailysse était à côté de moi, souriante. "Salut", me lança-t-elle. Je bafouillai un vague salut en guise de réponse. Lorsuqe je lui fis la bise, le contact ac sa peau parfumée me fit tressaillir. Nous nous mîmes
à discuter joyeusement, et je me détendais au fur et à mesure. Elle s'était vraiment bien habillée. Je jetai un coup d'oeil aux alentours. Je remarquai la même fille du hall, en débardeur encore une fois. Des filles qui gloussaient en ns regardant. Très agaçé, je leur lançai un regard noir, et je tournai la tête, croisant le regard du blond de l'autre jour, comme paumé. Il détourna vivement les yeux, et je remarquai alors qu'ils étaient rouges...
On ouvrit la porte. Je m'amusai alors à pousser Mailysse dans la pièce (je ne me fus jamais permis ce genre de liberté auparavant) et elle tourna la tête en souriant. Nous allâmes nous asseoir sur un banc du fond, échangeant des regards à la dérobée. Les filles qui gloussaient s'installèrent juste à côté de nous. Irrité, je me levai pr leur dire très gentiment (c'à dire en les foudroyant du regard et en leur sifflant d'une voix froide l'ordre de dégager) lorsque je sentis qqch de pas très...normal.
Mailysse aussi s'était levée, inquiète. Alarmé, je TOURNAI LA TËTE EN TS SENS
Tout se passa alors à la vitesse... de l'éclair. Les lampes explosèrent, les cris, les bancs renversés. Nous fûmes alors happés par la foule, dans l'obscurité...

[mais tu joues à quoi là dédé ?! xD t'as même pas fini l'autre rp, tu t'incrustes dans celui-là, et fais des incohérences : dans un tel brouahaha, tu n'aurais pas dû m'entendre éternuer, ni me voir tellement il y avait de monde, à moins que tu me surveillais... mais en plus, tu n'étais même pas dans le rp du couloir, tu ne devrais donc pas savoir que j'ai un pouvoir, ni même me reconnaître spécialement ! pour déneiros, tekzes n'existe même pas ! à part le fait qu'il a bousculé maïlysse, ton attention sur lui n'aurait pas dû allé plus loin ! ^^

alors tes grandes fautes :
Alarmé, je tournai la tête vers le blond...
Tout se passa alors à la vitesse... de l'éclair. Le jeune homme éternua, les lampes explosèrent, les cris, les bancs renversés, le jeune homme usant de nouveau de son pouvoir...
"NON!!!!!" criai-je en même tps que Mailysse en voyant les morceaux de verre se diriger sur lui. Mais nous fîmes alors happés par la foule, dans l'obscurité...

dénéiros n'a pas vu mon personnage éternuer, ni a aperçu les vers foncer spécialement dans sa direction, puisque le noir se faisait peu à peu dans la salle, mais rapidement quand même ! ^^]

edit : corrigé ^^

arrivés tous les 3 (akiro aelis et moi-m^me) dans l'auditorium, nous ne savions plus trop quoi dire et nous nous séparèrent instincivement. je me dirigeais vers la foule qui attendait devant la lourde porte de la salle. les glousseuses étaient toujours là, dissimulées sous un centimètre de fond de teint. je sentis tout a coup un souffle... je le percevais plus saccadé que celui d'un être humain, plus chaud aussi... comme... oui, comme un animal ! je tournai la tete et vis une fille a la démarche d'une féline, très gracieuse. un jeune homme stylé (enfin ce n'était pas mon style de vetement mais bon) la suivait de pres. il semblait très possesssif mais semblait l'entourer une vague de froideur, étrange...

je is d'un coup le blond de tout a l'heure, mais il semblait nous éviter et l'instant d'apres il avait disparu de mon champ de vision.

nous finimes par enfin entrer dan la salle, mais tout a coup...

le slumières se mirent a grésiller, les néons a clignoter, et le noir se fit soudain dans la pièce. mais enfin étais-je tombée dans une école de fous ? ou pire, un lycée dangereux ?? mais non, il devait bien y avoir une explication a tout ca..; a ce phénomène étrange... aux pouvoirs qui nous habitaient...

Continuant sa petite balade dans les couloirs Mailysse s’aperçut que tous se ruaient vers un seul endroit, l’auditorium. Rapidement il lui revint à l’esprit qu’un rendez-vous pour les nouveaux étaient à l’ordre du jour.Usant de ses dons la féline se déplaça si vite qu’il fut impossible de l’apercevoir, et se retrouva directement à côté de Deneiros .

Le féline se délectait à utiliser ses pouvoirs, mais elle faisait tout de même à ne pas éveiller les soupçons des jeunes lycéens.Une chose était sûr, Deneiros et elle n’étaient pas les seul dans ce cas, elle était certaine que d’autre personnes possédaient des dons très étranges et très excitants . Son instinct animal ne la trompait pas .Jamais.

Deneiros perçut la présence de Mailysse et l’accueilla avec un sourire embarrassé qui finit par s’effacer après de longues minutes de conversations.Toujours aussi mal habillé mailysse finit presque par se demander si elle ne devait pas lui faire la réflexion…Mais elle ne souhaitait pas le blesser, surtout pas lui. Elle tenait à lui, plus qu’à d’autre. D’ailleurs c’était le seul à qui elle pouvait faire la bise, et à qui elle offrait son sourire si rare ... La féline jetait des regards noirs aux autres,les défiant , elle se tenait sans cesse sur ses gardes. Difficile de l’aborder.

Assise sur un banc , Mailysse sentait des présences étranges, des odeurs familières, elle scruta alors la salle du regard , et aperçut des visages familiers.La fille au débardeur prés d’une fenêtre qui semblait appréciait l’air pure extérieur , le blond, solitaire et abandonné dans ses pensées.Une énergie différente emanait de chacun d’eux.Elle distinguait un courant froid chez Deneiros ,au contraire chez la fille en débardeur elle percevait un vague de chaleur intense et chez le blond une energie troublante.

Alors que les élèves se ruaient tous vers la salle, Mailysse et Deneiros se firent bousculés, ce qui la rendait folle de rage. Elle croisa le regard du blond qui plongeât dans ses yeux sauvages aux pupilles si impressionnantes. Mais il pivota rapidement la tête après avoir croiser celui de Deneiros froid et persecuteur. La foule s’entassait de plus en plus, cependant elle n’eut pas le temps de faire un geste qu’elle sentit subitement une energie incontrôlable dans la salle, qui laissa place à un éclatement de verre brutale pour emprisonner la pièce dans une obscurité presque totale. Des cris jaillirent dans tout les sens. Mailysse voulut pousser un rugissement de colère, elle se retint de peu, de peur d’effrayer encore plus les individus déjà tellement paniqués.

(ps: vous vous etes tous plantez , je vous signal que ma rencontre avec deneiros c'est aprés !!le soir !!!! normalement on se connait pas encore ...j'ai continuai mais il va falloir modifier le moment ou notre rencontre se passe dans le parc...)

(c'est ca le blem, maily a raison, vs dites qu'on est là mais ns on est ême pas encore au parc, à moins que la réunion ne se passe le lendemain...)

[... la faute à quel abruti qui a préféré faire un rp LE SOIR au lieu de l'après-midi ? -_-]

[Ne postez pas svp, je poste cet aprem ou au pire, ce soir...^^]

Tekzes a écrit:: [... la faute à quel abruti qui a préféré faire un rp LE SOIR au lieu de l'après-midi ? -_-]

[ j'vais pas attendre ttes les semaines que Aelis vienne faire avancer le vôtre pr faie le mien O_o Bah on a qu'à dire que c'est le lendemain^^]

[dans ce contexte-ci, t'avais même pas besoin d'Aelis pour le rp dans le parc... tu t'es seulement éclaté à dire que c'était le soir ! je l'avais remarqué moi, mais flemme de le dire xD bref, maintenant on dira que le rp dans le parc se passe dans l'après-midi...

ps : c'est qu'un dur moment à passer, après on fera ce qu'on voudra pour les rp xD]

[OK c'était le soir fais les modif's nécessaires flemme^^]

[kedalle ! meurs xD et assume !]

Je n'avais pas exactement compris ce qui se passait. Nous étions tous entrés dans l'auditorium, et quelques agitateurs avaient provoqué des mouvements de foules particulièrement désagréables. Tous ceux qui me frôlaient s'éloignaient subitement, en me regardant d'un air mauvais et suspect. Bien sûr, ma température était particuièrement anormale, mais pour une fois, cela m'était utile: il n'y avait maintenant plus personne autour de moi dans un rayon de 1 mètre. Je remarquais le garçon que j'avais failli incendier, bousculé de toutes parts, la fille aux allures de panthère et celui qui l'accompagnait. Je n'y avait pas fait attention, mais lui ausi semblait dégager une aura particulière. Je cherchais la chaleur de son côté. Il n'y en avait pas. A mon instar, les gens s'écartaient de lui, mais parce qu'il était véritablement glacial. Je m'approchais légèrement de lui pour en être certaine. Oui, vraiment glacial. J'étais entrée dans l'auditorium,et m'était assise près de ceux dont j'avais déjà fait la connaissance, puis je sentis le groupe de glousseuses s'installer bruyamment derrière moi. J'allais leur envoyer un tout petit peu de chaleur, juste assez pour les faire partir, mais le garçon derrière moi me devança et les fit déguerpir en sifflant furieusement. Au moment où je me retournais pour le remercier d'avoir dégagé la place de ces parasites, les lumières sautèrent et la salle se retrouva plongée dans le noir. Je sentais la tension monter, la chaleur augmentait dangereusement et plusieurs personnes se mirent à crier. Je me rapprochais de mes voisins, et sentit un courant d'air froid, en déduisant que le garçon de tout à l'heure devait être tout près... Et si... Si je lui envoyait un tout petit peu de cette chaleur qui commençait à m'opresser... Je me demandais si cela lui ferait quelque chose... Non, tant pis... Je me faufilais adroitement entre les élèves affolés, reportant le poids de mon corps sur une jambe, puis sur l'autre de manière à éviter plus efficacement les obstacles. J'atteignais bientôt la sortie et filais envoyer la chaleur par la fenêtre ouverte,vers le lac. L'eau se mit à bouillir et j'aperçu derrière moi la féline qui me regardait d'un drôle d'air.
- Salut... lui dis-je en souriant.

[Bon moi je fais quoi ???, je vous mets ensemble ou pas... Bon bah je vous met ensemble et si ya un problème j'éditerai...]
Après avoir quitté les couloirs pour aller à l'auditorium, nous nous séparâmes instinctivement. Je me suis adossée a un mur et j'ouvris une fenêtre qui donnait sur la forêt et le lac pour me rafraichir un peu et me suis mis a écouter les bruit de le nuit qui tombait. Je me sentais bien d'ici je pouvais voir la forêt avoisinante... L'air enfin pur d'une nature rebelle qui aura résisté aux intempéries que provoque l'homme... Sa me rappelait la montagne dans laquelle j'ai vécu mon enfance... Et une vague de nostalgie me submergea je me rappelais tous les bons moments passés avec mon grand-père, ma seule famille... Je sentai qu'ici sa allait etre different je me ferai suremment des amis amis mais sa ne serai plus pareil....
Efin ils ouvrirent la porte , étant dans les derniers a entrer je vis qu'un surveillant obligeait le blond a rentrer car il paraissait rétissent. Une fois a l'interieur je ne fus pas surpris de voir le groupe des "glousseuse hytériques" qui assayaient un couple .
En regardant attentivement je remarquai que c'était "Napoléon"- habillé d'un costume Cerruti bleu nuit et d'une chemise Hugo Boss. Il portait aussi des mocassin noir Wembley ainsi qu'un Rolex Milgaus au poignet droit. Comparé a lui avec mon simple pantalon Diesel, mon tee-shirt Levis, mes baskets Adidas et ma Casio je paraissais appartenir aux enfants défavorisé.-
*Moi qui avait voulu soigné mon image pour donner bonne impression ... Sad

*
Il était accompagné d'une jeune fille a l'allure féline. Elle n'était pas spécialement bien habillée mais avait un charisme naturel. Elle avit ce petit truc que certaines fille cherchent a avoir toute leur vie mais n'arrivent jamais a obtenir. Je ne crois pas qu'ils m'aient aperçu car ils étaient trop occupés a refroidir les glousseuse peut-etre meme au sens propre du terme...
Je m'éloignait de la foule lorsque je vis Aelis toujours en débardeur en "chaleur"[ .......................................Règlements........... 103752

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Justeaprès les lampes explosèrent et par réflexe je fis durcir ma peau sibien que les eclats de verre qui avient échappés à une drole d'attraction n'andommagèrent que mon tee-shirt. Juste après cet evenement je vis que les morceaux c'étaient dirigés vers le blond et aussi que Aelis sortait en courant de la salle.
Mon regard ce tourna ver "Napoléon" qui avait compris que quelque chose n'allait pas après avoir vu mon corps de métal diparaitre pour redevenir normal.
Je me dirigeait vers lui en sachant qu'il allait m'en apprendre autant que j'allais lui en apprendre...

Mailysse ne supportait plus cette oppression, elle aurait voulu rugir de tout son être .Les cris et les bousculades se mêlèrent à une sensation de chaleur et de froid. Du froid et de la chaleur ???.La féline captait des ondes de froid se dégageant de Deneiros, elle commençait à avoir l’habitude. Mais elle distinguait aussi une chaleur très proche d’elle. Elle se doutait bien que la fille en débardeur n’était pas loin. Juste à côté. Elle n’avait pas besoin de la voir. Elle la sentait…

C’est à ce moment là que la vague de chaleur émanant de la jeune fille, s’éloignait peu à peu. Mailysse la suivit alors à la trace, se faufilant entre la foule, elle n’eut aucun mal à frayer un chemin menant à la sortie. Instinctivement, les yeux de Mailysse se modifièrent, tournant au rouge pour y voir plus clair dans la salle obscure.Douée d’une souplesse à en couper le souffle, elle se tordait gracieusement et fut très rapidement sortie de la salle, intacte et fière de sa prestation.

Elle se retrouva dans le couloir, et fut soulagée. La féline ne supportait pas d’être aussi proches des gens, d’être oppressé d’une telle façon. Elle était prête à faire un bond pour s’élancer dans las airs et atteindre le couloir en retombant lentement surs ses pattes, ou plutôt sur ses pieds.Mais il en était hors de question, personne ne devait se douter de ses pouvoirs.

Mailysse retrouva la sensation de chaleur de la jeune fille, elle pivota en direction de la fenêtre. Se rapprochant délicatement, la jeune fille semblait se libérer d’un lourd poids qui la soulagea subitement. Etrangement Mailysse ne ressentait plus la même intensité de chaleur.Le fille se retourna alors vers Mailysse et fut surprise de la voir.Elle lui adressa tout de même un petit bonjour que la féline ne tarda pas à rendre. Pour engager la conversation, Maylisse répliqua quelques mots… « Insupportable cette chaleur dans la pièce … n’est-ce pas ?? » Mailysse guettait sa réaction, elle était sur que la fille cachait quelque chose.Celle-ci étonnée de sa réflexion ne savait quoi répondre.

- Peut-être plus pour moi que pour toi...répondit-je en souriant.
- Est-ce que tu perçois aussi la chaleur?lui demandais-je de but en blanc . Moi je la capte et quand j'ai accumulé une certaine quantité, je peux la... Transformer en feu...
Je sentais que je pouvais me confier à elle, je sentais qu'elle comprendrait... Et apparement, je ne m'étais pas trompée: son expression le prouvait. La principale finit par arriver, l'air exaspéré et ordonna à tout le monde de sortir de la salle et de se calmer. Elle nous annonça que la réunion aurait lieu dans la salle du Conseil en attendant que les lumières ne soient changées, et elle nous indiqua une double porte de bois dans le couloir. Les élèves entrèrent en silence dans la grande salle et nous nous dépéchâmes de les suivre. Seulement, je sentais encore une présence dans l'auditorium... Mais l'air contrarié de la principale me découragea de mon projet d'aller vérifier. Je m'asseyais dans un coin et les professeurs entrèrent avant de s'installer sur l'estrade.
- Mesdemoiselles, messieurs, nous allons commencer...
edit: ça te va? et je te rapelle que les lumières ont légèrement explosé, alors ça m'étonnerais que déi s'éloigne come ça de maïlysse, je me trompe? bon, dépêche toi de poster...

[Tin tu casse tt tu c tres bien ke je me suis dirigé vers dédé il ne pouvai donc pas venir ver mir !!!
Edit ou bien je le ferai !!!]
edit Aelis: c'est pas parce qu'il te vois venir qu'il va faire attention à toi, autrement dit, vous pouvez être en mouvement tous les deux en même temps! (mais qu'il est bête, c'est pas vrai...)

[nan nan après ma rencontre ac toi je pourrais me diriger vers Maily, enfin p-e...]
J'étais plus énervé que paniqué. Je détestais me laisser conduire comme une vulgaire marionnette, au gré d'une foule de stupides petits imbéciles...
Je sentis que le bras de Mailysse me lâchait et se fondait ds la foule évacuant l'auditorium. Inquiet, je criais son nom, sans succès. Grommelant, j'écartai de gestes brusques et violents les personnes à mes côtés, me frayant un passage ds la foule. C'est alors que qqch me revint à l'esprit. Après que j'intimais aux superbes idiotes à côté de Mailysse et moi de ficher le camp, mais juste avant que les lampes ne s'éteignent complètement, j'avais cru apercevoir le Japonais moqueur du hall. Juste avant aussi que l'obscurité ne s'abatte sur la foule, son corps était devenu comme... métallique. Je m'arrêtais soudain ds ma course, heurtant un môme de 1m40 tout au plus. Je le regardai ss le voir, et pensai que... Oui, il en yavait d'autres. D'autres comme moi et Mailysse. La réalité me frappa avec la vitesse d'un TGV! Le blond, la fille en débardeur, celle ac sa musique, ce Nippon!
J'en étais sûr! Courant de nouveau vers la porte, je sortis ds le couloir et le retrouvai, qui se dirigeait vers moi. Je le jaugeai du regard, puis lui balançai un crochet du droit ds la mâchoire. Sonné, il recula et s'apprêtait à riposter, lorsuqe je l'arrêtai d'une voix froide:
"-Stop. Ca, c'était pr le sourire ds le hall. J'ai HORREUR qu'on me prenne de haut", dis-je d'une voix légèrement moqueuse.
Il grimaça, puis finit par me tendre la main. Ss me départir de mon sourire froid, je la lui serrai...
... et hoquetai de douleur. Cet idiot avait coincé, comme qui dirait, ma main ds une poigne de fer. Mais... c'était réellement du fer! J'en vaias les larmes aux yeux. Puis il relâcha son étreinte. La main douloureuse et étrangement tordue, je lui lançai:
"Bon, t'es pas si idiot que ca finalement, mais qd même un peu..." Comme je me préparais à lui balancer un coup de pied ds l'entrejambe (nan, y a pas que les filles qui font ça^^), je m'arrêtai. J'étais en train de m'abaisser à jouer le jeu d'un gamin...
Par la suite, on commença à discuter, et il m'apprit ses pouvoirs, me dévoilà l'existence de ceux des autres et par là confirma mes suppositions. Luna, Akiro, Aelis, le blond... Plus Dénéiros et Mailysse. On se décrivit rapidement nos pouvoirs respectifs, et il me raconta l'anecdote ds un couloir entre Aelis et l'autre blond. Apparemment, je n'étais pas le seul à ne pas contrôler mes pouvoirs...
La principale arriva alors la mine revêche, et nous fit entrer ds une autre salle. Parmi la foule des élèves, j'aperçs Mailysse ac Aelis. Je me dépêchai alors de les rejoindre, Akiro sur mes talons. Retrouvant Mailysse, je plantai mon regard ds le sien, si profond, simplement heureux de la retrouver. Akiro ricana, et Aelis me dévisagea d'un air intrigué...

[ Tu dois toi aussi éditer car on ne connais pas encore le nom de tek : tu diras le blond c tt !!!]

[Ce n'est pas que je t'emmerde à chaque fois dédé, mais je suis encore inconnu de tous niveau identité.... ^^]

Tekzes, resté à l'intérieur se refusait de se lever et de sortir. De toute manière, personne ne percevrait qu'il manquait quelqu'un à l'appel. Tekzes se releva donc lentement et regarda la porte de la salle, source de lumière. Il ferma par la suite les yeux, et senti des tensions dehors. Tekzes pourtant s'assit sur le banc à côté de lui et regarda le plafond. D'un simple éternuement, il explosait les néons... N'avait-il pas pourtant maîtrisé son pouvoir à travers les années ? Il avait atteint un degré tel de maîtrise de la foudre qu'il pouvait dans une grande concentration amener l'orage. Aujourd'hui, il contrôlait si bien son pouvoir qu'à un simple éternuement, son pouvoir s'en retrouver compressé et expulsé de son corps pour exploser toutes sortes d'objets à proximité. Encore heureux que ce qu'il venait d'expédier n'eût touché les élèves...

Tekzes se releva lentement, puis ressentit une vive douleur sur son épaule. Hasardeusement, une lame était allée trancher à l'endroit même où son vêtement était légèrement brûlé. Tekzes avança au centre de la salle, et ne ressentant plus aucune tension au-dehors, il leva les yeux au plafond. De toute manière, qu'était-ce une vie pénible sans avoir de but précis ? Il avait reçu un don du ciel, mais il ne s'en servait plus puisque pour l'utiliser encore un peu, il devait mourir au bout du compte. Tekzes s'était résigné à ne plus user de son pouvoir pour le restant de sa petite vie. Il lui restait à peu près 10 ans à vivre à partir de ses 17 ans.

Cependant, si cela se nomme une vie, autant mourir maintenant. Si Tekzes abusait de son pouvoir, autant le tuer maintenant. Si rien dans l'instant présent empêchait Tekzes d'utiliser son pouvoir, il n'avait pas à s'en priver. S'il devait encore vomir du sang jusqu'à en mourir, Tekzes ne renierait plus son pouvoir. Autant vivre une vie jusqu'à son terme avec tout ce que le ciel nous a donné.

Tekzes leva son poing vers le plafond, et son corps illumina les ténèbres de la salle. Il venait de prendre une nouvelle décision. Il recommençait à vivre. La puissance émanant de lui fut telle que l'attraction terrestre en fut bouleversée autour de lui. Tekzes s'éleva dans les airs à deux mètres du sol par lévitation, et une soudaine sphère l'entoura. Cette sphère fonça droit vers le plafond et le traversa perçant la roche comme du beurre.

Tekzes atterrit sur le toit, et regarda le ciel qui avait cessé la pluie. Le poing toujours tendu vers le ciel, Tekzes invoqua la foudre en expédiant sa puissance accumulée en lui.
Il plut tout d'abord, puis le premier éclair tomba droit sur le poing de Tekzes, qui étincela et se chargea massivement en pouvoir.

Malheureusement, tout se finit rapidement, Tekzes s'agenouilla soudainement et lâcha un flot de sang sur le toit... Ces choses-là n'était plus de son temps, il devait mûrir un peu... Mais puisqu'il allait mourir prochainement, tant pis, il devait vivre son instant présent intensément.

Ce qu'il oublia, ce fut que quelques personnes l'avaient vues en bas...

« Peut-être plus pour moi que pour toi...répondit-elle en souriant.
- Est-ce que tu perçois aussi la chaleur ?. Moi je la capte et quand j'ai accumulé une certaine quantité, je peux la... Transformer en feu... »

Mailysse d’abord surprise par cette révélation, fut ensuite heureuse que la jeune fille se confie à elle.Un sourire soulagée naquit sur ses lèvres. Le feu, la glace, …tout semblait lié. Mailysse comprit qu’ils étaient bien plus nombreux qu’elle pensait, obsédée par cette pensée la féline ajouta :

« Oui on peut dire ça comme ça , je capte la chaleur des corps, et j’ai tout de suite compris que tu possédais une quantité de chaleur hors norme… , si je peux résumer mon pouvoir, je me comporte comme un félin, mais je n’ai pas vraiment besoin de contrôler mon don , c’est.. Instinctif. »

Les deux jeunes filles se comprirent par un simple regard leur pouvoir respectif semblaient les rapprocher. C’est alors que la principale, une vieille femme d’un air mécontent s’approcha d'elles et leur imposa de se diriger vers la salle du Conseil.

Cependant Mailysse ressentait encore une présence dans l’auditorium…elle captait en effet, une énergie, des ondes étranges. Elle retrouva cette même sensation juste avant l’explosion des lumières.Néanmoins l’arrivée de Deneiros accompagnée d’un grand sourire la dissuada de tenter quoique ce soit.Il n’était pas seul, un japonais aux cheveux métallisés était présent. IL eut un rire moqueur en voyant Deneiros offrir un grand sourire à la féline. Celle-ci lui jeta un regard noir, presque effrayant.Les quatre adolescents s’avancèrent dans la salle et s’assirent dans un coin, assis l’un à côté de l’autre.

La principale prit alors la parole, mais une fois de plus, Mailysse captait une vague d’énergie suspecte pas très loin. Cette sensation était plus que gênante, une moue se posa sur les lèvres de Mailysse laissant place à de la frustration. La féline ne cessait de bouger sur le banc, et les autres le remarquèrent tout de suite. Deneiros voulut lui demander ce qui n’allait pas, mais à peine retourné vers Mailysse, celle-ci se retrouva directement dans le couloir sans que personne n’ait eut le temps de s’apercevoir de son absence.Troublé Deneiros ne tarda pas à la suivre, et le japonais lui emboîta le pas. Ne restant plus que la jeune fille sur le banc, cette dernière s’empressa de sortir de la salle pour analyser la situation.

Les quatre lycéens étaient réunis dans le couloir. Ils ne comprenaient pas la réaction de la féline. Mailysse resta figée quelques secondes, se concentrant pour déterminer l’origine de cette vague d’énergie si intense. , mais cet instant fut de courte durée.Elle coura en direction de l’auditorium, les autres semblaient aussi ressentir cette étrange sensation et tous se dirigèrent rapidement vers le même lieu. L’auditorium.Il se retrouvèrent dans salle, tous stupéfait du spectacle. Une lumière éblouissante se dispersa dans la salle emprisonnant le blond dans une sorte de sphère. Le poing levé, il s’élança vers le plafond sans remarquer notre présence. La puissance du garçon fit exploser le plafond, et la sphère autour de lui l’emporta vers le toit. Tous ébaubis de la vue époustouflante en contre-plongée, le blond finit par se pencher vers le bas avec une mine désopilante, et nous adressa un regard confus…

Cet Akiro commencçait sérieusement à me taper sur le système. Je m'apprêtais à lui donner une leçon made in Evans lorsque la principale cri pr réclamer le silence. En pensant qu'il avait bien de la chance, je m'assis à côté de Mailysse. La principale commença à parler...
"L'incident ds l'auditorium... Rien de grave... Professionnels... Réparer..."
Je ne l'écoutais que par intermittence, trop occupé à surveiller Mailysse, qui s'agitait près de moi. Je faillis prendre la parole pr lui demander ce qui n'allait pas mais je n'en eus pas le tps. Elle avait déjà bondi ds le couloir...
Marmonnant un juron, je me précipitai à sa suite, suivi par Akiro et Aelis, qui hésita un instant avant de nous emboîter le pas. Je la retrouvai ds le couloir, concentrée et figée.
"-Est-ce que tu vas ns expliquer pourquoi tu..."
Elle avait déjà foncé ds l'auditorium. Pénétrant après elle ds la salle, ns ns figeâmes soudain. J'entendis vaguement Akiro crier un juron haut et fort en japonais.
Le blond provoquait la foudre, et, le poing levé, l'attirait vers lui. La pluie tombant à travers le trou béant du toit décoiffa Dénéiros. Les cheveux plaqués en mèches humides sur son front, lui couvraient à moitié les yeux.
Hébété, Dénéiros jeta des regards autour de lui, vers ses compagnons. Ceux-ci semblaient s'inquiéter pr le blond. Mais lui s'inquiétait pr une tte autre raison...
Il avait cru, en entendant Akrio raconter, que le blond ne savait pas maîtriser ses pouvoirs. Il avait alors pensé à lui parler, à se rassurer. Mais c'était faux. Tous, ici, savaient se contrôler. P-e même savaient-ils d'où leur venait ses pouvoirs et les leurs. Dénrios se sentit alors très seul, humilié.
Il avait cru être enfin heureux. Il aimait Mailysse, avait découvert d'autres personnes semblables. Il était en paix, du moins le croyait-il.

Tout devint noir autour de lui.

Il était à présent désespéré. Il se pouvait que Mailysse ne l'aimait pas... Ils se pouvait, non, il était le seul à ne pas contrôler son étrange pouvoir.
Rongé par l'angoisse, par la peur, par la colère, il se mit à hurler. De frustration. De dépit. Mais surtt, il sentait monter en lui une colère immense, un rejet de cette réalité. Ds le noir ds lequel il était plongé, deux créatures se battaient. Deux choses, immatérielles, l'une rouge sang et l'autre brillante comme l'or. Elle tournoyaient l'une autour de l'autre, se fondant l'une ds l'autre. Puis soudain, la chose dorée s'estompa brutalement, et la créature rouge poussa un rugisselment de triomphe.

*Ce n'est pas possible... Tu peux y arriver, toi aussi*

Cette litanie de mots se répétait ds ma tête. J'essayais, comme sous contrôle, de faire surgir en moi cette onde de glace de mon corps.
Je n'y arrivais pas. La créature hurla de plus belle. J'essayais tjrs, en vain. Ss mes paupières closes, la créature ne brûlait, comme du fer chauffé à blanc. Je devais me rouelr par terre, mnt. Je ne sais pas.
Puis, soudain, la vague de glace monta en moi. Elle se propagea ds tout mon corps. La douleur était insupportable. Mais il fallait que je la contrôle.
Il fallait que je la domine.
* Je suis maître de mon corps, comme des autres.*
Cette phrase, la devise de mon père, me revint à l'esprit. Il me la sussurait lorsuqe j'étais petit... Le visage de Mailysse apparut alors ds le maelström sombre que j'étais alors. De ttes me forces, je m'efforcais de retenir cette fichue glace...
Soudain, elle m'obéit. Elle se figea ds les vaisseaux de ma main, ss que pr autant j'en ressente du mal. Je pouvais en faire ce que j'en voulais.
J'avais réussi.Je repris conscience de mon corps.
Pr qq instants seulement, le tps de voir les visages terrifiés des autres, de me relever.
Je sentis mes genoux heurter le sol.
Tt redevint noir...

miaw... pardon...

[on est en plein rp j'te rappelle^^]