Nom : Killoskull
Prénom : Jeck
Âge : 15 ans
Description physique : Jeck a les cheveux très foncés, et ses yeux, si vous les croisez trop longtemps vous plongent dans les ténèbres de son âme… Jeck est avant tout un garçon grand de plus d’1m75. Il est corpulent, mais surtout costaud. Après une croissance rapide, il s’était mis à la musculation et au catch, mais ce dernier sport lui était trop prétentieux, alors il arrêta rapidement, après avoir pourtant maîtrisé des figures avec à chaque fois des noms pittoresques. Jeck ne court jamais, mais il se déplace souvent muni de sa cape de jais, mais il l’enlève pour le lycée, laissant apercevoir un jean semblant le serrer mais très souple, lui permettant des mouvements rapides du corps, une veste noire en cuir, et, mystérieusement, un t-shirt blanc. Jeck réagi très rapidement à tout ce qui se dit, à tout ce qui se fait, même s’il ne le montre pas en surface. Si quelqu’un tente de le frapper, il réagira dans le quart de seconde même pour éviter, ou bien pour riposter tout en parant ou encaissant le premier coup. Jeck aura la plupart du temps un visage extrêmement impassible, tel une statue de marbre qui ne se lasse jamais de l’immobilité absolue.
Description mentale : Jeck est un garçon qui n’a certes pas une culture générale très élevée, mais qui réfléchit rapidement à toutes sortes de choses. Il est très logique, ce qui lui permet de réussir en mathématiques. Lorsqu’il se bat, il peut imaginer plusieurs enchaînements sur un même coup, et choisis toujours la meilleure pour terrasser rapidement son assaillant. Cependant, en arrivant dans ce lycée, Jeck espère une vie sans encombre, et il souhaite ne pas avoir à se battre durant les trois prochaines années qu’il aura à vivre dans ce lieu mystérieux où il connaîtra l’étendu et les limites de son pouvoir… Jeck est calme et réfléchi, et il ne se mettra jamais en avant pour attirer l’attention sur lui. Il attend patiemment le bon moment pour comprendre son pouvoir, et seul la compréhension de ce dernier l’intéresse. Jeck n’attirera normalement personne de sa froideur, et restera dans l’ombre pour un long moment avant de finalement décider à se fondre dans la masse…
Histoire :
Cinq ans sont passées depuis sa naissance. Jeck rentra chez lui un beau jour de printemps, en compagnie de sa famille venue le chercher en voiture. Il apercevait entre autre sa grande sœur assise à côté de lui, et s’empressait de lui raconter sa dernière journée d’école, sans prendre conscience qu’il changeait de bâtiment dans quelques mois.
Sa dernière image de son enfance demeurera celle de sa grande sœur lui adressant un sourire radieux, qui lui était autant le souvenir du soleil de son enfance que l’image de la mort qui lui eut tout pris à cette époque. De cette dernière image qu’il garda, il tomba dans un coma profond et douloureux.
Il se réveilla le jour d’une rentrée particulière, celle du collège. Il n’avait rien de particulier ce jour-là, mais il sentait que sa tête chargeait lentement son esprit, afin qu’il reprenne correctement le rythme quotidien. Il était dans une chambre sinistrement éclairée. Il se leva et quitta la pièce vide de sentiments d’aisance. En croisant les personnes dans le couloir, il les entendit lui dire une simple expression qu’il assimila étrangement rapidement : « Bonjour, Jeck ! ». Il se souvint soudainement de son identité. Jeck. Mais le nom… ? Il l’avait étrangement oublié… Cela l’intriguait de plus en plus… Et ces enfants qui passaient à droite et à gauche, pourquoi le saluaient-ils alors que Jeck n’arrivait même pas à se souvenir d’eux ? Sa mémoire était déjà bien défaillante en ce qui lui concerne, alors s’il devait tenter de penser aux autres, il deviendrait certainement fou…
Fou ? Ce moment à peine pensé dans sa tête résonna dans le couloir. Trois grands garçons débarquèrent pour l’encercler. Jeck ne les reconnaissait pas.
« — Alors le fou, comme ça on est enfin sorti de son trou ? Tu sais que tu vas au collège aujourd’hui ! Et dans notre collège en plus ! On va t’en faire baver, s’pèce de fou ! »
Dit le plus costaud des trois. Jeck les ignora et se dirigea dans le réfectoire sans même y réfléchir…
Jeck fut jetait sur une poubelle, où il sentit un fracas sur son épaule. Cassé ? Non, mais terriblement douloureux. Les trois garnements du matin l’avait retrouvé et la soudaine envie de frapper un garçon restait dans un coma depuis plusieurs mois les avait pris.
« — Alors, ça fait quoi d’être terriblement choqué par la mort de sa famille ? Le fou ?
— Quoi ?
— Oh non ! Il va encore nous faire le coup de je m’en souviens pas d’avoir tué ma famille ! »
Jeck ignorait réellement de quoi il parlait. Jeck fouilla profondément dans sa mémoire en regardant le sol sous ses pieds et se concentra…
Deux adultes au visage noir sur un lit d’hôpital où l’on leur recouvre le visage…
Un médecin s’approchant de lui avant de poser un genou devant lui pour annoncer un mot incompréhensible…
Une force invisible qui le traînait vers le pensionnat, et sa main devant lui, rejetant l’idée d’y vivre sans ses parents, pointée en direction du portail…
Un soudain coup de poing sur sa tempe le réveilla brusquement de ses pensées. Jeck sentait de la tristesse en lui. Il avait perdu ses parents il y a quelques mois et avait été forcé de vivre dans le pensionnat où il s’était réveillé ce matin-là. Mais après avoir été contraint de passé sa vie dans ce pensionnat, il avait soudain perdu conscience, et ceux jusqu’à la rentrée de sixième… Ce qui s’est passé le jour de la mort de ses parents ? Jeck avait frappé un voyou trois fois plus grand que lui qui avait pris son biscuit, et ses parents sont intervenus pour les arrêter, mais comprenant qu’il ne pouvait rien faire face à l’homme corpulent, il avait sorti un poignard pour tuer les parents, mais la police est intervenu avant qu’il s’en prenne à Jeck. Pourquoi était-il aussi précis dans ses souvenirs ? On aurait pu imaginer dans un monde magique, qu’ils lui avaient été implantés… Mais nous étions dans la réalité, et Jeck en prenait conscience par la douleur qu’il ressentait à sa tempe.
Il se releva soudainement, et comme si son enfance passée à se battre resurgissait en lui. Mais quelle était cette enfance dont il ne se souvenait pas physiquement avoir passé ?
Le vent devint soudainement violent ce soir-là, autant que le corps de Jeck qui se mouvait seul. Aussi rapide que le vent fila, Jeck massacra littéralement ses adversaires qui n’eurent rien vu arriver, si ce ne fut la mort qui leur broyait la peau par des coupures d’une lame invisible…
Plusieurs années plus tard, Jeck était déjà devenu un garçon très sombre et très muet. Il n’avait pas eu un seul ami de par le crime que tous lui reconnaissait, mais dont personne ne démontra qu’il était coupable. Jeck ne comprenait pas non plus comment il avait réussi à les tuer. Mais un jour, par une tempête infernale, il comprit le sens de sa vie…
Suite à son rêve, il comprit énormément de choses. Il décida de se rendre à la capitale, mais de l’annoncer avant à ses tuteurs. En marchant à travers les couloirs, il fut soudainement poussé dans un placard qui resta longuement verrouillé…
Jeck percevait le vent au-dehors qui hurlait. Il lui semblait même avoir entendu un arbre être déraciné. Tout le bâtiment perdit l’électricité, mais cela ne faisait rien à Jeck, il aimait le noir. Mais ce qui suivit ce noir absolu, il ne l’aima pas. Les sals gosses qui l’avaient enfermés dans ce placard se mirent à frapper à sa porte en l’insultant de tous les noms. Jeck tint les premières insultes, mais entendant que les insultes viraient sur sa famille, de sa puissance colossale, il explosa la porte de son poing. Tout s’envola et l’un des garçons derrière la porte fut écrasé contre le mur derrière lui. Apercevant plusieurs abrutis autour de lui, Jeck ferma les yeux, et songeant à son pouvoir, l’activa de toute sa haine retenue jusqu’à ce jour…
Quelques semaines plus tard, il arriva finalement au lycée de la capitale, par bateau. Puis, débarquant dans la ville, il s’installa dans un café, et perçut dans la radio non loin de lui :
« Nous n’avons pas encore déterminé l’origine d’une triple tornade qui aurait ravagé la ville il y a de cela quelques semaines. Il n’y aurait aucun survivant de ce jour funeste… »
Jeck resta de marbre et se dirigea vers son lycée…
Signe(s) distinctif(s) ? Il ne le remarque pas, mais lors de l’activation de son pouvoir, un cercle noir se forme autour de son cou, comme un collier qui lui serait collé à la peau.
Autre chose à dire : personnage pas encore d’actualité ^^ Si vous voulez poster avec lui le plus rapidement possible, tuez Tekzes xD