première visite...

Ma tête bouillonait littéralement, et pour une fois, ce n'était pas à cause du feu. Il fallait absolument que je sois convaincante en racontant l'excuse que j'avais mise au point, sinon, ça ne marcherait pas... La principale entra et posa un regard inquiet sur akiro, étendu sur un des lit de l'infirmerie. Je lui avais bien expliqué qu'il devait avoir l'air de souffrir, autrement, parce qu'il serait légèrement qu'il soit indemne après avoir reçu un tel choc... Bref, je me tournais vers la vieille femme qui me fixait maintenant d'un air inquisiteur et prenais un ton volontairement iperdu et choqué, en parlant d'une voix faible. Il ne fallait pas tout lui dire, des explications trop précises auraient été suspectes, aussi kje décidais de lui révéler mon excuse par petits bouts.
- On était dans l'auditorium, començais-je d'un ton grave. Et puuis Maïlysse a entendu du bruit, comme un gémissement alors on est retourné dans l'auditorium... Je sais qu'on n'aurait pas dû, mais... Enfin, quand on est arrivés là-bas, on a vu que les lumières s'étaient rallumées, et il semblait y avoir quelqu'un par terre, je me suis approchée et le lustre a de nouveau éclaté... Après, ça s'est propagé et... Je n'ai pas bien vu ce qui s'est passé ensuite, mais il y avait du feu partout... On est tous partis en courant, sauf akiro qui a trébuché sur les gravats, dis-je en désignant ses blessures. Et après... Et bien, on est venus ici, et je ne sais pas ce qu'il s'est passé, j'ai entendu un bruit comme une explosion, et on l'a ramené ici...
J'avais augmenté la chaleur de mon corps juste assez pour en avoir les larmes aux yeux, et mon visage avait un air mesurément bouleversé. Je la regardais en agrandissant les yeux pour accentuer l'impression que j'étais partuculièrement secouée. Maïlysse fit même mine de me consoler. Ca ne pouvait que fonctionner... Le visage de la principale se radoucit, elle soupira puis conseilla à l'infirmière de garder Akiro en observation pour la nuit. Je glissais un sourire aux autres tandis qu'elle s'éloignait. Quelques minutes plus tard, des hommes entrèrent en portant un brancard, devancés par une femme en blouse blanche, apparement un médecin. Ils échangèrent quelques mots avec l'infirmière et déposèrent quelqu'un sur l'un des lits. Je reconnus la silhouette du blond. Ils se retirèrent discrètement et je m'approchais de lui. Je renonçais vite à l'idée de les suivre, et je regardais son visage noirci par les brûlures.

La mort.

Tekzes devait être certainement mort. Il lui avait semblé avoir aperçu la lumière blanche à plusieurs reprises, ainsi que.... des anges ? Ils étaient vêtus de blancs. Mais étaient-ce réellement des anges ? Tekzes ne put les identifier. La mort l'obsédait. Tout ce qui s'en rapportait était pour lui l'au-delà.

Il aperçut au-dessus de lui une grand lueur blanche. Le soleil de l'autre monde. Des silhouettes blanches autour de lui. Des anges. Des objets pointus à la main. Des poignards... Comment ? des poignards ? Tekzes ne se trouvait au paradis alors, mais il était en enfer. Ces diables blancs devenus soudainement noirs avaient été désignés pour le faire souffrir éternellement, en commençant par lui ouvrir le corps à l'aide de leur scalpelle. Qu'ils lui ouvrent le corps, il n'avait rien à donner. Son corps étaient déjà inutilisable de son vivant. Dans la mort, il ne devait certainement pas servir davantage. Tekzes resta silencieux. Si là était sa punition, il se résignerait sans intervenir. Sa vie n'a rien valu. Sa mort lui sera chère. Tant de souffrances dans une vie pour plus de mal dans une mort. Si la vie pouvait être refaite, il aurait certainement souhaité y mettre un terme dès la naissance. Son destin était scellé depuis que son pouvoir s'était éveillé. Sa mort sera aussi rapide que son pouvoir.

De toute manière, pourquoi avoir reçu un pouvoir maudit ? Qu'avait-il fait pour le mériter finalement ? Et puis, quel était ce noir dans son enfance ? Un grand vide dans son enfance était peut-être la réponse à sa question. Il aurait péché énormément dans son enfance... Comment cela aurait-il pu être possible ? L'enfance était le temps de l'innocence et de l'insousciance. Mais si nous reprenions le concepte du pouvoir maudit, nous pourrions peut-être en déduire qu'il avait utiliser son pouvoir pour détruire sa vie environnante ? Tekzes avait du faire le mal à une époque alors, à cette époque oubliée...

Soudain, le ciel noir au-dessus de lui s'effaça lentement, laissant naître en son centre un voile blanc. Tekzes tenta de lever le bras vers le ciel, mais ne put l'utiliser. Ou plutôt, un poids l'en empêchait. Tekzes se concentra alors, mais rien ne se produisit. Ce ciel blanc devint soudainement stable, et il aperçut des carrés. Mais que représentait ces cases si bien alignées ?

La vie.

Ses yeux déjà ouverts observés du fond de son âme le plafond d'une pièce éclairée. L'infirmerie, était-elle ? Sous son corps se présentait un lit, et un drap le recouvrait. Tekzes sentit une intense douleur à travers son corps. Il n'avait jamais ressenti cette souffrance à la fois si difficile à tenir, à la fois si plaisante. Il savait que sa douleur n'était pas inutile. Il l'avait mérité, à user si souvent de son pouvoir. Mais si elle lui était plaisante, c'est par le fait qu'il savait qu'il était en vie. Il n'était pas mort. Or cette douleur dans son âme lui était déchirante. Il vivait encore. Pourquoi vivre encore après avoir vu la mort d'aussi près ? Mais bien sûr, la vie n'avait pas fini de lui en faire voir de toutes les couleurs. La vie en elle-même rejetait ce démon. Mais la mort ne l'acceptait pas non plus. Tekzes ne pouvait ni vivre en paix, ni mourir tranquillement.

Après ces pensées qui allaient, qui venaient et qui partaient, Tekzes tenta dans un effort surhumain de se lever. Il ne put cependant que s'asseoir sur son lit. Il enfouit son visage dans ses mains, pleurant sa survie, et sa faillance à la mort. Ses larmes cependant ne voulaient pas venir. Il enleva ses mains, puis aperçut une personne à quelques mètres de son lit. À sa vue, une larme coula de son oeil, et il s'empressa de l'effacer. Puis il recroisa le regard de cette personne, et la reconnut. C'était la jeune fille qui avait avoué avoir reçu le pouvoir des flammes.

Tekzes détourna son regard rapidement et observa le tabouret à côté de son lit...

Il n'avait pas l'air bien. Sincèrement. Son visage était d'une pâleur inquiétante. Il me semblait voir des larmes couler de ses yeux, mais je n'en était pas certaine. Par rapport à la puisance qu'il exhalait tout à l'heure dans l'auditorium, je le sentais plus faible, mais en même temps, c'était plus...rassurant. J'esquissais un sourire et me rapprochais un peu.
- Tu vas bien? Je veux dire...
Je m'arrêtais et le considérais un moment.
- Tu maîtrise l'électricité, n'est-ce pas?
Ma voix avait retrouvé son assurance habituelle, et je parlais de nouveau de façon fluide, ce qui était diamétralement opposé au ton cassé et effrayé que j'avais adopté tout à l'heure avec la principale. Il me regarda un moment. Derrière moi, je sentais Akiro se relever et tourner son regard dans sa direction.

On était ts revenus à l'infirmerie. Sur le chemin du retour, je ne faisais qu'échanger des regards ac Mailysse, mais j'entendis qd même vaguement parler Aelis.
A l'entrée du lycée, je compris alors que ns devions laors avoir besoin d'un excuse crédible pr faire passer le carnage ds l'auditorium...l s'avérait qu'Aelis s'en était occupée pdt le trajet. Je croyais qu'elle se parlait à elle même...(^^)
Il faut dire qu'elle avait trouvé une bonne raison. La principale, après ns avoir dévisager un à un avec un air sévère (je pris bien soin de la fusiller du regard, ce qui explique p-e pourquoi elle s'était attardée un peu plus sur moi), ns laissa seuls, Mailysse, Aelis et moi veillant Akiro et l'autre blond, qui fut transporté ici. Aelis engagea la conversation ac lui, pdt qu'Akiro se relevait et tendait l'oreille lui aussi. Ns ns tournâmes alors ts vers l'Electrokinésiste...

Nous étions tous tournés vers lui quand l'infirmière arriva.
- Ecoutez, il est bientôt neuf heures maintenant, vous commencez les cours demain et vos amis ont besoin de se reposer, alors retournez dans vos dortoirs s'il vous plaît!
Forcés d'obtempérer, nous passâmes devant le lit d'Akiro en lui glisant un sourire moqueur et il recomença à faire semblant de souffrir le martyr.
- On revient les voir demain... murmurai-je.
Je repartais vers le dortoir des filles avec Maïlysse et Luna qui nous rejoignait en courant, alors que les garçons se dirigeaient vers l'aile est. Nous sommes entrées sans bruit pour ne pas réveiller les élèves endormies et nous glissâmes sous les draps. Le feu en moi me paraissait plus doux, comme si le simple fait d'être ici, d'avoir des amis, de savoir que je n'étais pas seule suffisait à apaiser les flammes. Demain, je recommençerais une nouvelle vie...

S'apercevant que tous étaient tournés vers lui, Tekzes préféra ne rien ajouter davantage et se rallongea dans son lit, pour finalement fermer les yeux. Il ne dormait pas, mais simula. Le temps passa extrêmement vite. Finalement, il entendit les autres partir et il se leva à son tour. L'autre garçon qu'il avait grillé était dans le lit situé à plusieurs mètres plus loin. Tekzes, observant bien les alentours, se leva lentement et attrapa ses vêtements sur le côté. Ils étaient en piteux état. C'est alors qu'il aperçut sa valise. Il l'ouvrit et prit de nouveaux vêtements, avant de fourrer ses vêtements en lambeaux dans sa valise. Puis, il sortit du lit, mais s'écrasa à terre, lamentablement et pitoyablement. Que se passait-il ?!

Tekzes n'arrivait plus à bouger ses jambes. Avait-il user trop de son électricité ?!
Il essaya de remuer ses jambes, mais rien. Ses jambes ne lui répondaient plus. Non, ça devait être un cauchemard, ça ne pouvait pas être possible qu'il ait perdu l'usage de ses jambes... !

Mais soudain des images défilèrent dans sa tête, comme des souvenirs qui lui revenaient. C'est alors que toutes ses images s'assemblèrent pour donner une illusion qui lui parut réelle...

"_... Mais je suis où encore, moi... ?
_ Tekzes, tu abuses trop de ton pouvoir.
_ Qui êtes-vous ?! Et où suis-je ? C'est quoi ce laboratoire ?! Pourquoi je suis derrière une vitre ?!
_ Tekzes, tu es notre sujet d'expérience, souviens-t-en. Tu es notre chose. Tu vas donc te plier à ce que nous allons t'ordonner à présent.
_ Mais vous m'écoutez ?!
_ Nous t'avons implanté une mémoire durant ton passage à notre laboratoire principal. Nous t'avons régénérer au niveau physique, mais il nous est toujours impossible de te régénérer au niveau de tes organes. Tu sais pertinemment que tu mourras dans quelques mois, et pourtant tu utilises encore ton pouvoir.
_ SORTEZ-MOI DE LA !!!
_ Tu as subi énormément de dommage intérieur dans l'utilisation excessive de ton pouvoir. Tu as perdu l'usage de tes jambes à présent. On ne sait combien de temps cela prendra pour te rendre l'usage de tes jambes, mais cesse d'utiliser démesurément ton pouvoir. Tu as un pouvoir aussi dangereux pour les autres que pour toi.
_ Je dois être en train de rêver là... c'est pas possible d'entendre aussi distinctement tout ça...
_ Tekzes, lie-toi d'amitié avec...
_ AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH"

Tout redevint normal. Tekzes s'était cogner contre le carrelage pour se réveiller. Il ne sut s'il n'avait crié qu'intérieurement ou s'il avait crié dans la réalité, mais il se dépêcha de mettre péniblement ses vêtements, avant de ramper vers la sortie. Mais il aperçut une chaise roulante et grimpa dessus, toujours aussi difficilement. Finalement, il s'éclipsa rapidement de l'infirmerie, et s'en alla vers le parc, tandis qu'il faisait nuit, afin de sentir la douce brise du soir lui caresser le visage....

Akiro sortit en courant de l'institut leur ordonnant de le suivre en vitesse! Sans un mot, Mailysse , Deneiros suivis d'Aelis lui emboitèrent le pas.ILs se retrouvèrent alors au bout de la rue, éssouflés, surpris de l'étonnante remise en forme d'Akiro. Néamoins ils n'échangèrent aucun mot, ce fut une journée forte en émotion. Aelis semblait dispersées dans ses pensées. Mais Mailysse était préoccupée par Deneiros. Elle ne cessait de lui jetter des regards.
tristes.
Inquiets.
apaisés.
Arrivés devant la facade du lycée, tous entrèrent le coeur battant espérant trouver une bonne excuse... Le groupe se diriga alors vers l'infirmerie , et Akiro s'allonga délicatement sur un des lits. Aelis exposa alors son plan qui semblait tenir la route.La principale fit son entrée.Inquiète.
La fille de feu, lui raconta toute l'histoire en évitant quelques détails,et en modifiant légerement la réalité des faits...Mailysse eut un rire intérieur en entendant Aelis tromper la principale avec une facilité déconcertante.Elle fut tout de suite conquise par la version des faits et posa un regard compréhensif sur Akiro qui jouait formidablement bien le malade souffrant le martyr.La principale s'éloigna quelques temps pour bavarder de l'état d'Akiro avec l'infirmière. Aelis adressa un sourire satisfait à Mailysse et aux autres. C'est alors que des hommes en blouse déposèrent le coprs d'un jeune garçon sur un autre lit. La féline reconnut immédiatement l'énergie emanant du blond.Cette énergie destructrice.
Une colère l'envahit soudainement, le blond avait faillit tuer Akiro et il se retrouvait alors prés de celui-ci.Plus faible cette fois-ci.En effet l'energie que captait la féline était mince.IL ne montrait aucun signe de vie, mais Mailysse percevait encore son pouls.
Le geste d'Aelis mis mal à l'aise la féline, elle s'était appochée du blond, s'inquiétant de son état. Avait-elle oublier ce qu'avait subi Akiro par sa faute? Pas Mailysse.
Tous se tournèrent vers lui, mais ils n'eurent pas le temps d'ajouter quoi que ce soit, qu'ils durent rejoindre le dortoir sur odre de la principale.Mailysse et le reste du groupe se mirent d'accord pour rendre visite à Akiro demain. Chacun rejoignit le dortoir. Aelis, luna et la féline prirent la direciton du dortoir des filles, et Deneiros se diriga seul vers le dortoir des garçons...
Mailysse lui glissa un regard réconfortant.Elles emprintèrent un long couloir et se faufilèrent en douce dans le dortoir.Aprés une journée aussi forte en émotion, Mailysse ne trouvait pas le sommeil. Elle avait appris énormèment de son aventure...Son coeur fut alors submergé de sensations. Ses sentiments se bousculaient à toute vitesse.
La chaleur de la jeune fille pesait sur la pièce, ce qui forca la féline à sortir s'aérer. Une première balade nocturne s'imposait.

Apres que la directrice s'en soit allée avec l'infirmière pour discuter d'un je ne sais quoi de formulaire d'administration, nous nous sourimes instinctivement et nous replongeames dans nos pensées. Quelques instants plus tards, des personnes en bouse blanche passèrent le seuil de la porte transportant l'éléctrokinésiste sur un brancar et le déposèrent sur un lit aussi blanc que le mien. La tension monta. Je pouvais sentir que son pouvoir avait atteint un état critique et que même s'il se remettait il aurait quand même des sequelles.
Je m'en inquiétais.
Bizzarement jene lui en voulait pas de m'avoir mis dans un tel état car il m'avait permis de me rendre de ma stupide arrogance et des faiblesses de mon pouvoir ainsi que de ma résistance. Mais je lui e voulais d'avor mis les autres das cette situation difficile car ils n'avaient rien demandé.
Après qu'Aelis s soit renseigné sur son état et que Mailysse ait montré son mécontentement, Il durent partir.
Je m'endormis s'un sommeil bien mérité. Je crois que je ne dormis que quelqueq minutes quand je fus réveillai par :
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!! cria le blond.
Je me levais d'un coup et je vis son viasage ruisselant de sueur comme s'il avit fait un cauchemar horrible. Je restait caché dans l'ombre a l'épier et je le vis sauter sur un fauteuil roulant. Apperement j'avais raison, il ne pourrai plus utiliser ses jambes pendant un moment. Je décidais de le suivre et jele vis emprunter le long couloir qui menait a l'exterieur il continua ainsi j'usqu'au parc plongé dans l'obscurité. Il s'arreta au milieu d'un bosquet d'arbres près du lac et d'ici je pouvais voir qu'Aelis nageait paisblement au milieu du lac.

Après avoir apercu le feu dans les toilettes des filles, je me sentis mal.
Je vis l’autre luna non loin de moi, elle se dirigea vers moi et je ne fis bientôt plus qu’une.

Mais mon etat s’empirait. Les battements de mon cœur ne cessaient de s’accélèrer, mon cerveau s’embrumait, incapable de penser logiquement, mes membrs s’engourdirent, et bientôt tout se brouilla autour de moi, je sentis que j’allais sombrer dans l’inconscience… J’eus le reflexe de me diriger le plus vite possible vers l’infirmerie, que j’avais apercu tout a l’heure dans un couloir (le moment ou j’étais encore seule en train de chercerh innocemment l’auditorium me parut bien loin tout-a-coup…).

Enfin j’arrivai, a bout de forces. la porte de l’infirmerie se trouvait a quelques mètres de moi… Mais soudain je vis Aelis, la jeune fille qui l’accompagnait tout-a-l’heure, et le garcon qui semblait dégager du froid sortir de l’infirmerie. Ils m’entrainèrent avec eux, sans mot dire… J’eus la force de demander des nouvelles d’akiro, bien mal en point la dernière fois que je l’avais vu… Aelis m’apprit que grace a maylisse, dénéiros (ainsi je connaissais mnt leurs prénoms)et elle-m^me, il était sain et sauf. Je crois que cette nouvelle me fit le plus grand bien car je semblais recouvrer peu a peu mes esprits…

Nous nous dirigeames donc tous vers les dortoirs, éreintés. Mais je ne me contenterai pas de ces maigres explications et je comptai bien interroger les 3 jeunes gens dès que je le pourrai… En attendant, nous nous éloignions de l’infirmerie…