institut cryogénique...

Mailysse et Aelis étaient à peine sortit du Lycée qu'elle devaient se diriger vers l'institut cryogénique.Le corps d'Akiro était trés faible,et la féline ne sentait aucune réaction de la part de son organisme. Pire. Elle ne percevait plus son pouls. Mailysse donna le papier à Aelis qui se précipita de lire l'adresse notée."122 rue des couteaux" Mailysse chercha alors dans quelle rue elles se trouvaient, 45 rue Lambert.
Commen allaient-elles parvenir à l'endroit voulu, Aelis eut une pointe de découragement. Mais ce n'était pas le moment de faiblir, certes elle ne conaissaient pas encore la ville,mais il suffisait de demander à un pasant.
Aelis se précipita sur le premier passant en lui montrant l'adresse. Celui-ci fut trés coopératif, et indiqua clairemement le chemin à prendre.
Continuer tout droit, et tourner au feu à droite , birfuquer directement à gauche puis descendre l'avenue et tourner finalement à la troisieme à gauche.Mailysse ne cessa de répéter le plan. Elles ne mettèrent que 10 mn à parvenir devant la facade gigantesque de l'institut.Essoufflée, Mailysse avait couru le plsu vite possible, sous la masse d'Akiro devenue carcasse.
Aelis ouvrit hâtivement la porte et fila vers le point d'acceuil, paniquée en voyant le coprs du jeune homme la secrétaire poussa un cri strident qui alerta le médecin prés de la cafetière.
Celui-ci prit immediatement Akiro soulagant Maylisse qui s'épuisa à terre.Aelis posa sa main brûlante sur l'épaule de la féline qui se releva lentement. Un horde de médecin en blouse aussi blanche q'un cachet d'aspirine
se dirigèrent vers le corps D'Akiro. Agonisant. Les deux jeunes filles restèrent figées sur place , en voyant le Japonais s'éloigner vers.. la cave de l'institut, le regard vide. Affaibli.Elle eut un instant de méfiance, ils emenaient Akiro dans une sorte de cave, mais elle entièrement confiance à Deneiros.
La secrétaire tenta de les rassurer et en profita pour poser quelques questions. Mais la féline lui jettant un regard noir, tourna le dos et s'installa sur un banc prés de la fenêtre.Aelis fit de même et la secrétaire n'insista pas. Furieuse.
Mailysse ésperait l'arrivée de Deneiros , et attendit le réveil D'akiro....

J'étais tjrs aussi bloqué. Mes membres refusaient de m'obéir, rien d'étonnant car mon cerveau était comme embrumé, incapable de fonctionnement. Je me décidai soudain à réagir qd même. Je pivotai sur mes talons, décidant que le blond n'était pas vraiment un danger immédiat. La foule d'élèves et de professeurs hurlant de stupéfaction, de peur ou de je ne sais quoi devant moi, apr contre, me posait d'autres soucis. Tant pis! je levai la main, pensant qu'un peu de bizarre en plus de changerait rien, après les énormes dégats que ns avions provoqués...
Une explosion retentit, et la foule hurla de plus belle. Tournant la tête si rapidement que j'en eus mal au cou, j'apercus de la fumée au dehors, et des lueurs dansantes sur les murs. J'eus soudain l'impression qu'une pierre me tombait ds l'estomac.
"Maily..."
Jurant, et refoulant l'inquiétude sourde que je sentais monter en moi, je courus en direction du dehors, lorsque le blond essayait de se relever.
"OH NON PAS DE CA, MON PETIT BONHOMME!"
Je levai la paume, puis lui envoyai plusieurs jets de glace. J'étais tellement enrvé, cependant, que je le ratai.
*Tant pis!*
Je me précipitai hors de la salle, bousculai un groupe de filles gémissant, poussai de l'épaule la principale au téléphone et sortit dehors. Tt le lycée s'était désintéressé de l'auditorium en ruines pr contempler, ds la cour, les toilettes des filles en feu. Mais soudain, j'entendis des cris derrière moi:
"-Deux filles sont sorties ss en avoir le droit! Vite, par la porte de derrière!"
je fus tellement rassuré que j'éclatais de rire. Qq personnes se retournèrent, et je pris vaguement conscience que je devais paraître merveilleuesment fou, la tête rejetée en arrière, un rire incontrôlable sur mes lèvres, et le visage auréolé de flammes.
Je me remis à courir m'arrêta au coin de la cour ds un gd dérapage, puis sortit à mon tour en trombe du lycée, après avoir foudroyé de glace qq surveillants qui tenté de m'arrêter. Mon rire repartit de plus belle. Je ressentais une agréable impression de puissance, que je n'avais pas connue depuis que j'avais vu Maily...
Je courai ss la pluie...

Je courais, encore et ecnore, ss la pluie. Je me rappelais parfaitement, l'adresse de l'institut, l'ayant attentivement gravée ds ma mémoire lors de mon tour avant la rentrée... Pr une simple histoire de rdv...D'approfondissement de connaissances. Mnt, c'était la vie d'Akiro qui était en jeu. Espérant de tt mon coeur que la cryogénie marcherait, je me ruai ds le hall de l'institut. Aussitôt, j'aperçus Mailysse et Aelis assises près de la fnêtre, fatiguées. Maily, en me voyant entrer, se précipita vers moi, me fusillant du regard, un regard chargé d'inquiétude. Je pris alors, d'un simple coup d'oeil, l'ampleur du problème. Akiro était ss température refroidie depuis à peu près une demie-heure, le ranimer serait un exploit. Pr la glace, il n'y avait pas de problème, j'avais déjà constaté, plus petit, qu'elle ne fondait pas. Je tempêtai sur la secrétaire pr recevoir l'équipement, pr pouvoir entrer ds les chambres froides. Elle me regarda d'un air sévère, puis m'intima sur ce ton supérieur que prennent les adultes:
"-Les mineurs ne sont pas autorisés à...
- PASSEZ MOI CETTE BLOUSE, ET VITE!
-Cmt osez-vs..."
Je sentis alors une vague de puissance monter en moi, la même ressentie après avoir foudroyé les surveillants. Une vague qui me donnait une formidable assurance et un pouvoir...qui me rendaient ivre de joie, une joie malsaine, un goût presque terrible, étanchant une soif de pouvoir enivrante...
Elle n'eut pas le tps de continuer sa phrase. Je la foudroyai d'un regard féroce, presque sadique, puis lui décochai un coup de poing formidable à la tempe. Elle s'effondra aussitôt, les yeux blancs et un filet de sang coulant sur son visage. Je me pressai de prendre la blouse et fis rouler son corps à côté du comptoir.
Aelis semblait choquée, et je lui lançai:
"Elle n'est pas morte!", d'un ton exaspéré. Soudain, Mailysse me prit par le cou et me fixa ac une colère sourde, contenue ds les yeux. Elle allait me demander, me hurler au visage "POURQUOI T'AS FAIT CA?" lorsque je la bousculai d'un geste brusque, les muscles de ma mâchoire durs et contractés. De nouveau, cette ivresse me prit. Le monstre rouge reprit forme ds mon corps, et rugit de contentement. Elle recula, surprise, mais aussitôt hostile, me dévisageant cependant encore ac inquiétude. La galce contenue ds mon corps ne demandait qu'a être utilisée.
A ce moment, j'oubliais que je l'aimais, que je ruinais mon amour, que je rayais de moi un sentiment inconnu depuis la mort de mon père... La mort, l'ennemi suprême...J'étais seumlement habité par cette joie malsaine, presque écoeurante mais tellemt enivrante!
Mailysse me dévisagea, essayant de refouler des larmes, par fierté ss doute. Puis elle vit mes yeux et ouvrit la bouche, stupéfaite. Intrigué, je me trounai vers un miroir et apercus mes yeux, violets, du rouge se fondant ac leur bleu habituel, puis mon sourire, un sourire qui faisait froid ds le dos, sadique...
Puis la chaleur de mon corps retomba...Et je me retrouvai, hébété, devant Mailysse...

Tout ce passa au ralenti. Juste avant son coup je sus que tout était vain, que sa ne pouvait déboucher qu'a une catastrophe si je l'évitait, sa pourrai détruire la moitié du lycée et que je ne serai peut-etre plus de ce monde si je l'encaissai car je savai qu'il n'allait pas s'arreter a un coup aussi peu violent. J'optais pour la deuxieme option et, un millième de seconde avant l'impacte nos regards se croisèrent et je lus la détermination ainsi que la volonté de vivre dans ses yeux rouges de sang.

Je contractait tout mes muscles avant l'impacte pour amoindrir le choc brutal. Je m'enfonçait alors dans le sol et sous le choc dévastateur mon bouclier de fer se fissura et par conséquent c'est mon corps qui en subit les dommage. Il puisa alors dans l'electricité tout juste absorbée et relacha en moi je ne sais pas combien de volts.
Mon métabollisme conducteur d'éléctricité ne supporta cette décharge surpuissante et mon corps s'affaisant j'eu un dernier réflexe : Me mettre dans la position spirituelle de la méditation que mon grand-père avait passé tant de temps a m'enseigner pour réduire les dommages de mes organes interieurs.

J'avais les yeux fermés, le poul ne battant presque plus.. Mais j'étais conscient, meme plus conscient, j'entendais les autres, je sentai la masse de sentiment indistincte de plusieur personnes autour de moi sans savoir a qui elles appartennaient. Plus tard, je senti que mon enveloppe charnelle se refroidissait par je ne sais quel moyen. et que l'on me portait.
Les sentiment des personnes devenaient plus clairs maintenant qu'il y en avient moins. Elles réfléchissaient a quelquchose qui m'échappait. Quelque minutes plus tard mon corps changea d'endroit un endroit qui vibrait de chose métalliques je le sentait...

Quand je me réveillait dans mon corps j'était dans un bloc opératoire des médecin ne comprenait pas qu'est ce que faisait des morceaux de métal sur mon corps. Je me levai d'un coup ce qui étonna les chirurgiens. En effet mon corps s'était rétabli a une vitesse phénomenale. Je sorti du bloc opératoir avec mes habit dechirés et j'atterris a l'accueil ou déi et maylisse se regadaient bizzarement.
-Vite ! criais-je. On se barre !!!
Ils me regardèrent d'un air plus qu'étonné

L'arivée brutale de Deneiros soulaga Mailysse, mais elle percevait une trés étrange sensation. Deneiros semblait pris par une rage féroce.
Il jetta un rapide coup d'oeil sur la féline pour se retourner vers la secrétaire. Son comportement était inquiétant.
Il s'énerva sur la secrétaire lui ordonnant de lui donner l'équipement nécessaire pour rejoindre la chambre froide.
Celle-ci blessé par cette impolitesse refusa toute demande , et se leva de sa chaise pour protéster. Deneiros lui imposa alors un vilain
coup de poing à la tempe qui lui valut un aterrissage brutal sur le sol. D'un geste puéril, Deneiros la fit rouler prés du comptoir. Pathétique,
Mailysse trouva ce geste pathètique et indigne de la part d'un garçon aussi cultivé.Il avait soif de haine et de mépris !! Oui un mépris envers
les êtres inférieurs face à son pouvoir et son arrogance désopilante. Mailysse bondit prés de lui , lui serrant fortement le cou,elle fut rempli d'une colère, melée de tristesse.
Deneiros était méconaissable, elle avait déja apercut ce regard sadique. Le jour où elle decouvrit la virtuosité de des pouvoirs, le jour où elle s'amusa à traquer son propre père.
Le jour où son propre père ne reconaisait plus sa fille.Mailysse avait eut excatement ce même regard.Sadique.
Deneiros ne se souciant pas de l'inquiétude de Mailysse la repoussa brusquement.Celle-ci le contempla longuement , essayant tant bien que mal à discerner Le "Deneiros"
doux et calme qu'elle conaissait.En vain. Il restait de marbre , toujours avec ce rictus synique aux lèvres. Le coeur de Mailysse sombrait dans les ténebres s'enfoncant à chaque
seconde dans un tunnel sans fond, sans trouver la porte qui menait au point sensible de celui qu'elle pensait aimer.Ils se dévisagaient encore et encore ,chacun restaient sur sa position.
Mailysse aurait pu attendre un geste de Deneiros pdt des jours entiers, elle s'en sentait capable, mais ses yeux terrifiants. Son sourire sadique.Mailysse en fut bouleversée.
Ce n'était pas lui !!! elle captait une force efrrayante !!! Soudain ses yeux avaient répondu à son appel , retrouvant lentement leur bleu intense. Elle comprit. Il n'eut pas le temps de toucher le sol froid de l'institut que qu'il se retrouva dans les bras de la déline. Elle posa un baiser sur son front. Glacial. il eut alors un léger sourire , puis il tomba dans un sommeil. Le sourire collée aux lèvres.
A son réveil , il était un peu moins pâle que tout à l'heure, mais ce n'était pas vraiemnt la grande forme. Toujours dans les bras de Mailysse ,serrée contre sa poitrine batttant la chamade. IL sursauta ...et prit alors la parole. Mailysse sourit.

J'étais tjrs aussi bloqué. Mes membres refusaient de m'obéir, rien d'étonnant car mon cerveau était comme embrumé, incapable de fonctionnement. Je me décidai soudain à réagir qd même. Je pivotai sur mes talons, décidant que le blond n'était pas vraiment un danger immédiat. La foule d'élèves et de professeurs hurlant de stupéfaction, de peur ou de je ne sais quoi devant moi, apr contre, me posait d'autres soucis. Tant pis! je levai la main, pensant qu'un peu de bizarre en plus de changerait rien, après les énormes dégats que ns avions provoqués...
Une explosion retentit, et la foule hurla de plus belle. Tournant la tête si rapidement que j'en eus mal au cou, j'apercus de la fumée au dehors, et des lueurs dansantes sur les murs. J'eus soudain l'impression qu'une pierre me tombait ds l'estomac.
"Maily..."
Jurant, et refoulant l'inquiétude sourde que je sentais monter en moi, je courus en direction du dehors, lorsque le blond essayait de se relever.
"OH NON PAS DE CA, MON PETIT BONHOMME!"
Je levai la paume, puis lui envoyai plusieurs jets de glace. J'étais tellement enrvé, cependant, que je le ratai.
*Tant pis!*
Je me précipitai hors de la salle, bousculai un groupe de filles gémissant, poussai de l'épaule la principale au téléphone et sortit dehors. Tt le lycée s'était désintéressé de l'auditorium en ruines pr contempler, ds la cour, les toilettes des filles en feu. Mais soudain, j'entendis des cris derrière moi:
"-Deux filles sont sorties ss en avoir le droit! Vite, par la porte de derrière!"
je fus tellement rassuré que j'éclatais de rire. Qq personnes se retournèrent, et je pris vaguement conscience que je devais paraître merveilleuesment fou, la tête rejetée en arrière, un rire incontrôlable sur mes lèvres, et le visage auréolé de flammes.
Je me remis à courir m'arrêta au coin de la cour ds un gd dérapage, puis sortit à mon tour en trombe du lycée, après avoir foudroyé de glace qq surveillants qui tenté de m'arrêter. Mon rire repartit de plus belle. Je ressentais une agréable impression de puissance, que je n'avais pas connue depuis que j'avais vu Maily...
Je courai ss la pluie...

[ce rp vient avant Mailysse au premier post, excusez l'administration^^]

Il semblait que je me sois endormi. Les yeux noirs, coléreux mais inquiets, accusateurs mais tristes, de Mailysse me fixaient tjrs ds mon esprit, semblant me supplier de redevenir Dénéiros...

Mais pourquoi redevenir Dénéiros?

Tt à coup, tt me revint en mémoire, et je devins effaré. Plus j'essayais de chercher une raison à cet effrayant phénomène, plus j'avais mal à la tête.

Je sentis alors des lèvers douces me presser le front...Le visage de Mailysse revint alors flotter ds mon esprit, et je laissai échapper un sourire sur mes lèvres...

Mais je me sentais aussi honteux, souillé. Il me semblait être affaibli, comme après une longue fièvre. Le mal semblait provenir de cette drôle de créature qui m'enserrait ds son emprise chaque fois que...

Mais...Cette créaure était en moi! Elle était une partie de moi! C'est alors que je compris. Depuis la mort de mon père, il y a dix ans, j'ai refoulé ts les sentiments affectifs, amoureux ou même amicaux qui essayaient de s'épanouir en moi. Je m'étais enfermé ds le seul sentiment que je considérais comme digne et noble: le pouvoir et ts les moyens pr le conquérir. Je m'étais enfermé ds mon arrogance, ds ma supériorité pr ne pas céder à ce que je considérais après dix ans d'aveuglement comme le lot des faibles et des ignorants.

Et voilà qu'à peine arrivé ds ce lycée, Mailysse m'avait fait redécouvrir ce sentiment si doux, et si réconfortant, si chaleureux. J'avais du combattre mon orgueil et finalement, j'étais redevenu Dénéiros Evans, celui là même qui jouait ac son père ds le salon, qui riait aux éclats, le petit garcon surdoué à l'école, tellement surdoué qu'il en ridiculisait les professeurs et ses camardaes, ne recherchant que l'affectin de son père.

Mais le contrôle de ses nouveaux pouvoirs avaient été le fruit d'un combat intérieur intense, et pr les maîtriser, Dénéiros s'était laissé emporter par son orgueil, par ses peurs, par ses angoisses. Il se revit dévoré par la créature rouge, qui si elle lui avait permis de contrôler ses dons, elle l'avait aussi replongé ds le doute et la peur. La mort de son père... Un amour nn partagé ac Mailysse...

Il ne dvait pas réutiliser ses pouvoirs avant d'avoir maîtrisé sa propre arrogance. Sinn, il le paierait cher...Il était devenu un monstre semblable à la créature aux anneaux rouges...

Il sortit alors du tunell noir ds lequel il était plongé, ac la certitude de se vaincre. Il dvait en avoir le courage, celui de s'affronter soi-même. La luimère revint doucement, et il vit le visage de Mailysse au-dessus de lui.

"-Maily..."

Je me sentais encore fatigué, épuisé. Mais j'étais au moins sûr de ce que je devais faire.

Me vaincre.

Elle sourit, et moi aussi.

DOUBLE POST !!!!

tek, c'est bon, arrête de casser l'ambiance!^^

Tekzes a écrit:: DOUBLE POST !!!!

[c'est toi qui m'y as forcé, idiot^^]

[ bon c'est un peu du n'importe quoi la , akiro stp poste apré anas, sinn c'est pas logique!!!! et dede, enleve moi ton premier post pliz, ca gache tout, on comprend plsu rien!!!!]

[ c'est pas ma faute, c'est l'autre Chnew qui m'a demandé de le mettre ici, en plus j'ai bien précisé en bas qu'il devait être le premier du topic...]

[l'edit c'est fait pour les geeks peut-être ? -_-]

(ça suffit maintenant, allez poster à l'infirmerie!)

[Relisez mieux mon dernier post, je croi que personne ne l'a lu !!^^]

[ah ouais, carrément zappé akiro O_O]

[ moi je l'ai lu, et tu devrais le poster juste aprés Deneiros comme ca on finit le rp , par la fuite,et on revient au lycée]