...................Arrivée et orage......................

Le ciel est blanc. Une pluie d'illuvienne tombe depuis ce matin. Moi, je brûle. A cause de tous ces gens qui frémissent d'impatience autour de moi. Je ne peux pas m'empêcher de capter la chaleur qu'ils dégagent, et je bouillone intérieurement. Je suis arrivée à trois heures pile, comme il était demandé sur ma lettre d'admission. Il est près de quatre demie, et nous attendons toujours dans le hall. Alors pour passer le temps, je détaille les élèves qui patientent Je me suis assise dans un coin avec mes bagages, et personne ne fait atention à moi. Parfait. Il y a cette fille, là-bas, toute en rouge, noir et blanc. Elle a un visage ouvert, sympathique et souriant. Son style est original, décalé, et je pourrais m'habiller comme elle si j ne cherchais pas à tout prix à me fondre dans le décor. Elle a des écouteurs enfoncés dans les oreilles et elle chante toute seule depuis tout à l'heure, complètement hypnotisée. Je me demande ce qu'elle écoute... De l'autre côté, près de la porte, il y a un groupe de filles. Toutes serrées dans leur corsage "ultra-mode", perchées sur leurs talons aiguilles, elles gloussent en se tournant de temps à autrevers tel ou tel garçon. Pitoyable... Les autres sont répartis en petits groupes, en essayant timidement d'engager la conversation.
Quelqu'un s'approche dans le couloir. Je sens une nouvelle source de chaleur, et j'aperçois une forme brouillée derrière la vitre teintée. C'est une femme à la silhouette étriquée et trapue, à l'air revêche. Elle porte un tailleur qui a dû coûter très cher et ses escarpins claquent joyeusement sur le sol étincelant. D'une voix autoritaire, elle nous demande de nous rassembler devant la porte et nous explique qu'elle va nous conduire aux dortois et que nous avons rendez-vous dans la salle 200 dans une heure. Je rassemble mes affaires et la suis dans les escaliers. Arrivée au deuxième étage, elle s'arrête devant une massive porte à double battant et demande aux files d'entrer, en nous attribuant un lit à chacune. J'ai celui juste contre la fenêtre. Génial. La fraîcheur me fait du bien, et j'ai une vue plongeante sur le parc en bas. Le matin, le soleil se lèvera juste de ce côté. Je range mes affaires dans le placard attenant à mon lit, en essayant de faire abstraction du bruit autour de moi et je m'installe avec un livre. Dehors, il continue de pleuvoir, et tout est plongé dans l'obscurité.

[HRP : donc, aelis, tu es dans les dortoirs.... bon bah on va dire que je vais déjà me perdre là, et qu'après le post de luna, puis ton deuxième post, vous me trouvez sur le chemin xD]

Dans le hall d'entrée, il y avait trop de personnes au goût de Tekzes. Il restait cependant dans son coin. Il s'avança vers la fenêtre et observa l'orage quelques instants, avant d'en détourner les yeux et d'aller s'asseoir sur un banc situé dans un coin. Puis, déposant sa valise et son sac à ses pieds, il se mit à contempler le sol. Il n'avait guère envie de croiser le regard de quiconque. Il voulait rester en retrait pour ne pas attirer l'attention sur lui. De plus, il ne venait même pas de la capitale, mais d'une petite ville dans le nord du pays. Il ne connaissait donc personne dans le coin, et il valait mieux pour lui qu'il ne se fît remarquer dès le premier jour. Il patienta donc, en n'écoutant qu'à moitié les bruits qui venaient et qui allaient, laissant son esprit dans le bruit sourd de la pluie battante. Puis, une soudaine voix imposante ramena son esprit parmi les personnes présentes, et elle leur demanda d'aller rejoindre leur dortoir. Tekzes se leva, et se mit en route et suivit les autres. Puis, lorsqu'une fille aux longs cheveux bruns passa à côté de lui, il crut sentir une soudaine chaleur émanant d'elle, mais en observant les alentours, il en déduisit que cette bouffée de chaleur était due au chauffage devant lequel il venait de passer. Après une longue traversée du lycée, Tekzes qui était soudainement parti dans les nuages orageux redescendit sur Terre et put constater qu'il avait suivi le groupe des filles. Celles-ci pénétrèrent dans leur dortoir, sans remarquer Tekzes. Ce dernier fronça les sourcils et rebroussa chemin. Il observa minutieusement chaque porte, mais aucune n'indiquait le dortoir des garçons.

C'était fou à quel point le lycée était immense. Tekzes, qui traversait les étages de long en large ne trouva toujours pas les dortoirs. Il ne lisait même pas les plans affichés sur les murs de l'établissement. Finalement, il se résigna à l'avouer : il s'était perdu. C'est à ce moment-là qu'il décida d'interpeler la première personne venue, mais il constata que plus personne ne longeait les couloirs... À présent, il fallait trouver un moyen de rejoindre le secrétariat afin de demander son chemin.... même il ne savait même pas où il se trouvait. Finalement, Tekzes posa ses affaires au pied d'une fenêtre et s'adossa contre le mur à côté de celle-ci. Il regarda le sol un instant, puis observa au-dehors le ciel gris...

j'étais arrivé dans la capitale le matin m^me, aprés avoir passé toute la nuit dans le train. c'était la première fois que je venais a Paris, la capitale de la France. La France qui était pour moi un pays merveilleux, mais dont je n'avais visité que le Sud, étant donné que j evenais de Barcelone. Je connaissais le Francais pesque aussi bien que l'espagnol, ma langue maternelle, et avait souvent eu l'occasion d el epretiquer lors de mes nombreuses excursions a Toulouse, Marseille et m^me Nice, ou dans les villages environnants. Mais aujourd(hui j'avais quitté ma bien-aimée espagne, j'avais laissé la provence, et j'arrivai a Paris, que je ne pensais pas aussi impressionnante. Le temps était encore beau, avec certes des petits vents de fraicheur qui s'annoncaient deja, mais le soleil était encore la.

mais quand j'arrivai, je ne me sentis pas du tout a ma place. je it tres vite demi-tour, je ne rentrai pas chez moi (jamais je n'y retournerai , mon inconscient m'en avertissait) mais prit le premier avion qui vient... il me restait largement assez d'argent pour acheter un ticket, et je pris donc ce vol (je n'en connaissais m^me pas la destination). il n'y avait que qqs personnes dans l'avion, l'air aussi paumées que moi. quand il aterrit, je suivit ces personnes (elle étaient an fait 3) et me retrouvai bientot devant un lycée , oui, un lycée ! ca evait être le destin, puisque le but de mon voyage a paris était d'abord de m'y inscrire au lycée. j'entrai donc et remplit une fiche d'inscription. la secrétaire n'avait pas l'air étonnée le moins du monde que je m'inscrive le jour de la rentrée...

mais maintenant, je me trouvais la, dans ce lycée, dans ce hall bondé ou je ne connaissais personne. une foule de nouveaux élèves se tenaient là, entassés. je ne trouvais rien d'autre a faire que de m'enfoncer l'écouteur sur les oreilles, et inconsciemment je me mis chantonner. je détailais la foule, en quete de futures amies a me faire. je n'étais pas d'une nature solitaire et je savais que des le lendemain (peut-être m^me le soir, dans le dortoir) je me promènerai parmis tous ces jeunes qui allaient partager un an, voir plus, de ma vie, bien que je ne les avait pas choisis. je promenai rapidement mon regard sur un groupe de "lolitas" , n sachant aussitot que ce n'était pas avec elle que j'allais avoir le plus d'affinités. beaucoup de personnes restaient seules, et certaines, bravant leur timidité, allait a l'encontre des autres pr essayer de faire connaissance. une fille était assise dans un coin depuis le début de l'apres-midi, elle était en débardeur alors que la plupart d'entre nous portaient au moins une petite veste. pourtant elle ne frissonait pas, au contraire. je ne savais que penser d'elle. il était certain qu'elle était réservée, mais elle semblait cacher en elle un caractère indéfinissable. on verrait bien, nous avions un an pr ns connaitre. les autres n'avaient rien de spécial, en tout cas rien que je n'ai remarqué.

au bout d'une interminable attente, une femme a l'air strict mais plutot sympatique vint nous chercher et conduisit le troupeau jusqu'aux dortoirs, ces dortoirs ou nous passerions toute l'année... je me retrouvai au dessus du lit de la jeune fille que j'avais repérée tout a l'heure, mais je ne savais dire si cela était une bonne chose ou pas... l'avenir me répondrait surement......
je m'assis sur le drap, en attendant qu'une heure passe et que nous allions tous nous retrouver dans la salle 200...

Les nuages gris, le ciel blanc, un rideau de pluie incessant je suis dans le hall du lycée « ………………….. ». Il y a des centaines d’élèves mais quelques-uns seulement m’intriguent…
En effet des que je me concentre sur eux j’ai de drôles de picotement à la tête… : Il y a d’abord le blond las-bas las bas qui paraît perdu mais qui a l’air assez sympa, ensuite il y a la « gothique », toute habillée de noir elle paraît énervée et elle fixe la troisième personne pour qui je ressentais de drôles de picotements : une grande brune qui écoute de la musique, du rock si je juge son style vestimentaire… Il y a aussi un personnage bizarre qui a des allure de noble, il a une posture qui me rappelle un personnage vu en histoire *Sa y est, je c’est : Napoléon !!!*
Je remarquais qu’il y avait comme je m’en doutais un groupe de « glousseuses » histériques…
A éviter de toute urgence…

Alors que mes pensée vagabondent de ci et de la une femme à l’air sévère arrive, elle porte des habit très chic et un décolté qui fait bavait quelques garçon de mon entourage. Elle nous indique le chemin des dortoir et tournant la tête je vis « le blond » suivre les fille. Je me demandai pourquoi et je me promis de visiter le lycée après avoir déposer mes affaires…

L'orage déchirait mes tympans... Je grimace et rentre la tête ss mon col, faute de mieux. Je suis descendu de l'avion il y a mnt une heure, et je me promenais dans la capitale lorsqu'il a éclaté. Enervé, je remonte la manche de mon costume Armani et jette un rapide coup d'oeil à ma montre en or... Déjà 16 heures! Plus que tps d'aller voir à quoi ressemble ce lycée. Je me mets à courir, dérapant sur les pavés glissants, jurant contre tt ce qui bloquait ma route. Enfin, j'aperçus le grand bâtiment et me ruai vers l'entrée principale. Fermé. Je jurai et pivotai sur mes talons, m'engouffrant par la porte officielle.
Un silence étouffant, comme celui d'une bibliothèque, mes mocassins bordés d'argent (dont je suis assez fier, il faut l'avouer) patinant sur le sol ciré. A qq mètres, un homme grand qui m'aperçoit, m'appelle, ss doute...
Je me mets à marcher tranquillement vers l'attroupement que j'ai repéré grâce au bruit dehors lorsqu'une main sèche m'aggrippa l'épaule:
"-Hé là toi, tu viens d'où?
Je me dégageai d'une secousse.
-Je suis élève ici, le pion! Et mnt, dégage!" Je le foudroie du regard. Désorienté, il titube, me fixe une dernière fois et recule. Satisfait, je me mets à inspecter les alentours. Et que ca bavarde, et que ca crie, et que ca rigole... Exaspéré, je me résigne à attendre.
Je remarque alors plusieurs personnes, du premier coup: Un blond à l'air hagard ac les cheveux tellement drus qu'on dirait un personnage de mangas, une fille, timide et réservée, en débardeur...Un autre, japonais ss doute, les cheveux blancs. Je tâtai les miens, raides. et impeccablement coiffés. A ce momnent, il tourna la tête vers moi et eut un petit sourire à peine perceptible, moqueur, qui m'agaça hautement. Ac une moue hautaine et dédaigneuse, je tournai les yeux. Une fille, habillée en noir, qui écoute de la musique...
Et puis soudain, mon instinct me pousse à regarder une jeune fille habillé elle aussi de noir, féline, et gracieuse. Mon regard s'attarda un instant sur elle, lorsuq'elle s'aperçut que je la fixais, je tournai vivement la tête, les joues rougissantes...QUOI?

*Attends, mon vieux, ressaisis-toi, t'as que ça à faire?*
Je vis alors une femme à l'air sévère ( qui faisait sûrement semblant, conclus-je après avoir observé son visage), avec des habits à l'avant dernièe mode, la dernière c'est moi qui l'ai (évidemment). Elle ordonna aux garçons de la suivre pr aller aux dortoirs. En la suivant, je jette un dernier coup d'oeil à la fille qui m'évoque tellement un lynx et aussi...Hum...
*Pas envie de dormir! Vais me promener un peu"

Je faussais dc compagnie à la dame au milieu d'un couloir et partit me perdre ds cet immense lycée...

A peine arrivée devant la porte du lycée, Malysse sentait qu’une nouvelle existence, pleine de rebondissement s’offrait à elle. Parti de chez elle sans rien, mailysse usa de ses talents pour dérober quelques vêtements dans un magasin qu’elle avait aperçu dans la rue la veille de son arrivée. Une pluie diluvienne avait pris l’île d’assaut, elle se dépêcha donc de rentrer à l’intérieur de cet impressionnant édifice.

Habillé très modestement d’un tee-shirt noir et d’un jean, son entrée ne laissa tout de même personne indifférent. En effet sa grâce naturelle et sa démarche animale retinrent surtout l’attention d’un jeune homme très mal vêtu au goût de mailysse qui lui jeta un regard subtil.Sous ses airs arrogant, mailysse le trouvait plutôt mignon, mais ses pensés n’étaient pas vraiment disponibles pour ce genre de détails. Mailysse aimait les gens à forte personnalité, et elle remarqua déjà plusieurs visages. Une jeune fille à l’allure de rockeuse se déhanchait dans le hall sans se soucier des regards. Un autre se distinguait par sa chevelure blonde, qui semblait quelques peu dans ses pensées. En revanche un étrange sensation capta l’attention de Mailysse, La féline pouvant sentir la chaleur des corps humains trouva louche qu’un de ses corps émane t beaucoup de chaleur. Beaucoup trop. Son regard se dirigea alors vers une jeune fille plutôt timide en débardeur.Depuis la découverte de ses pouvoirs, elle n’avait jamais sentit une telle chaleur d’un simple corps humain, encore une question sans réponse, qu’elle se décida de vite découvrir. Un autre lycéen se distinguait aussi des autres par sa chevelure métallisée, ressemblant à un japonais tout droit sortit d’un manga. L’instinct animal de mailysse ne la trompait pas, elle sentait en eux, une force inexplicable. Elle le sentait.

Puis une femme au tailleur parfait, expliqua aux jeunes filles la direction du dortoir et sans plus attendre, mailysse et les autres empruntèrent le couloir qui les mena en ces lieux. Mais mailysse désirait parcourir le lycée seul tout en se faufilant dans les endroits les plus sombres. Elle s’échappa de la fil pour venir chevaucher le léger vent du couloir….

Me voilà enfin devant cet immense portail. Il faut dire qu'à un certain moment j'ai perdu toute patience à cause des emboutaillages, mais bon, je ne suis pas arrivé en retard. Plus débile, je me promenais dehors sous la pluie vêtue d'un jupe rouge et d'un leger Tee-shirt blanc avec divers motif rouges et noires.A mes pied, je portait de belles balerines blanche au tissu très fin, presque transparent. En effet, un peu étourdi, j'ai oublié que ici, le temps n'est pas aussi estival qu'à Sète.
Avant le franchir la porte du hall d'entrée, j'ai d'abord pris une profonde inspiration ( qui est censée me donner du courage).

C'était merveilleur, un luste scintillant au plafond, des vitraux laissant passé une lumière du jour coloré, on aurait pu se croire dans un monument. Ce lieu était, comment dire, géant. Heureusement qu'il y avait quelques panneaux accroché au mur pour indiquer au lycéen la direction à suivre, parce que dans le cas contraire, je me serais probablment perdu dans cet immense labyrinthe.
C'est ainsi, que en suivant rigoureusement les indications, il m'a semblé avoir apperçu plusieur personne que j'avais auparavant vu dans ma vision. Ces personnes semblaient si étranges, que je pennais à oublier leur visage.

A son arrivée orageuse, Jeck se fit discret et se planta dans un coin sombre à l'écart des autres. Il n'avait guère envie de les observer, et demeurait les yeux cachés derrière sa capuche. Sa longue cape traînant de jais était légèrement trempée, mais Jeck ne tenait pas comtpe de cela. Il contempla plutôt la fenêtre et pouvait apercevoir dans ce ciel gris le reflet de la mort qui était venue l'accompagner dans sa rentrée au lycée.

Jeck était venu dans le but d'apprivoiser son pouvoir, mais également pour se cacher de son ancienne ville ravagée par son pouvoir des ténèbres. Sa haine accumulée avait rongé peu à peu son calme naturel pour finalement éclater au grand jour, assassinant tout son entourage. Jeck souhaitait changé de vie en venant ici, il souhaitait vivre parmi des gens qui ne l'avaient jamais connu avant, qui ne connaissait pas son passé particulièrement sanglant... Mais ce pouvoir qui lui permettait le créer des tornades.... non de dompter le vent, était la clé à son mystérieux songe dont il ouvrirait la porte ici...

Puis quelques minutes plus tard, une femme arriva et leur demanda d'aller dans leur dortoir respectif, tout en leur indiquant le chemin. Jeck s'installa dans sa nouvelle chambre, et aperçu qu'il n'avait pas de colocataire, ou plutôt que son colocataire manquait... Il se ficha complètement de son absence et s'assis sur son lit, continuant d'observer le ciel gris par sa fenêtre...

Nombre de messages : 13 Age : 31 Date d'inscription : 18/11/2007

Kim avait atterri le matin même dans le seul et minuscule aéroport de l’île, cette île qu’elle avait vue en rêve et qui l’avait tant attirée…
Elle se trouvait maintenant dans le hall de son nouveau lycée, un peu retirée dans son coin pour l’instant étant donnée qu’elle ne connaissait personne. Néanmoins, elle ne passait pas inapercue pour certaines personnes, notamment certains garcons dont elle entendait les sifflements… Sa chevelure violette, très flashe, accentuait cette impression.
Kim remarqua quelques personnes parmi la foule, en positif ou en négatif d’ailleurs, mais pour les autres elle n’avait pas encore d’opinion. Parmi les élèves dont elle devinait qu’elle ne s’entendrait jamais avec, il y avait bien sûr les machos qui la soûlaient déjà, mais aussi un groupe de filles qui semblait plus rusées pour mettre en avant leurs poitrines que pour toute autre chose….

Mais certaines personnes l’intriguaient, par exemple cette fille en débardeur en plein mois de septembre alors qu’il faisait 15 degrés… ou encore ce garçon qui, à 15 ans à peine, portait déjà un costume cravate… et cette fille, là-bas, qui avait un baladeur sur les oreilles mais qui ne semblait pas avoir peur du ridicule puisqu’elle chantonnait et faisait des gestes (Kim estima que ca devait être des pas de danse improvisés)…
Pendant un instant, elle se demanda ce qu’elle était venue faire là, dans ce lycée qui présentait déjà qqs bizarreries. Mais une femme a l’air strict vint interrompre ses pensées pour leur donner les premières consignes et les emmener vers leurs dortoirs…

Diamond avait atterri de l'avion voilà une demie-heure, et, juste le temps de se trouver un taxi ("flemme d'aller à pied", se dit-il), il était devant la grande porte du lycée.

*Bon, l'air désolé, ca va...Les papiers aussi...OK, je rentre!*

Affichant une mine contrite et faussement désolée, il sonna à la porte. Il avait une semaine de retard sur la rentrée habituelle. Il faut dire que ses parents, très possessifs, avaient insisté pour qu'il reste avec eux le plus longtemps possible en vacances... Il soupira, et attendit patiemment l'arrivée de quelqu'un. L'attitude de ses parents l'exaspérait au plus haut point. Il ne comprenait pourquoi, mais depuis quatre ou cinq ans, il se sentait bizarre, étrange, sans cesse en proie au doute. Il ne se reconnaissait plus lui-même, comme si on lui avait greffé une autre personnalité, plus arrrogante, plus douée certes mais aussi plus complexe et surtout froide, étrangement glacée.

*C'est la rentrée, mon gars, essaye de penser à autre chose!*

La porte s'ouvrit alors toute seule, à la suite de sa sonnerie. Il entra, les mains dans les poches, l'air interéssé. Il apercut alors un grand hall vide, magnifique et étrangement pesant. Il allait se diriger vers le secrétariat lorsqu'il apercut deux silhouettes traverser la pièce au fond...

Nombre de messages : 8 Age : 32 Date d'inscription : 18/11/2007

Les nuages gris du ciel si sombre ne firent descendre que de fine goutellette de pluie sur le beau visage d'Edward qui marchait le long du mur qui bordait le lycée.
Il pensait à son voyage en avion, cet engin si singulier qui nous permet, nous misérables humains d'atteindre le monde céleste qui nous est interdit.
Il releva la tête.
*C'est l'automne*
Sa saison, préférée... celle qui reflétait le mieux le monde dépravé qu'il avait connu lors de son enfance.
Des fines gouttes se mettaient à tomber lorsqu'il franchit d'un pas souple la grille du lycée.
Cette année n'allait pas être beaucoup différente des autre : monotone, fade, sans aucun gout... Il eu un sourire triste en voyant la jeune fille qui chantonnait toute seule un air de rock et son attention fut attirée par des personnes un peu hors du commun. Une autre jeune fille en débardeur alors qu'il pleuvait, un nippon qui semblait tout droit sorti d'un manga, une fille à l'allure menaçante mais très attirante apparemment pour certains garçon. Bizarrement il l'a trouvé ordinaire et ne semblait pas attiré par sa fine silouette. Il vu aussi un adolescent au airs supérieurs qui était semblait-il sur son 31. Il y avait aussi une fille aux cheveux mauve flash qui se fichait apparemment éperdument de l'avis des autres et un garçon aux cheveux jaune électriques qui était déconnecté.

*Finalement, je crois que cette année va être différentes des autres…*

Une femme blonde à l’air stricte arriva et indiqua le chemin à suivre pour arriver aux dortoirs.

*C’est parti pour un nouveau départ …*

Un jeune homme arriva tout trempé de la tête aux pieds.Il enleva sa capuche et regarda d'un regard triste les alentours qui lui paraissait si étrange à ses yeux.Il sentait une drôle de présence...il n'aimait pas ça du tout.

C'est temps-ci,rien ne lui plaisait.Malgré sa grande timidité,son caractère renfermé contre la joie et la bonté ne se dissipait jamais.Son mal de tête refaisait surface et des frissons lui parcourrait le corps encore une fois.Sa tristesse intérieur se camouflet à travers sa gentillesse.

Il avança dans le couloir principal.Pour lui,le couloir lui paraissait d'une longueur indéfinie et interminable.Il soupira tristement et se dit:

* Et voilà...j'ai un nouveau chemin à tracer. *

Une jeune femme le raccompagna au dortoir des garçons et c'est comme ça que l'aventure commença.